1. mûres59/cette retraitée me bouffait les couilles


    Datte: 23/06/2021, Catégories: Mature, Auteur: langauchat, Source: xHamster

    ... fesses étaient jolies, satinées, mais molles. Ses seins tombaient tristement. Ses expressions involontairement mélancoliques tranchaient de manière excitante avec la vulgarité laquée des combinaisons en latex, des bustiers cochons que je lui faisais porter. Lorsque je l'avais pénétrée, ma grosse bite était la seule chose ferme et dure qui pulsait dans son corps.
    
    J'aimais la voir s'enfoncer un gode, les cuisses écartées sur mon canapé, tandis que je me masturbais debout, face à elle. Nous échangions des regards brûlants, retardant autant que possible le moment où je m'approcherais, tendant mon membre à ses lèvres fardées.
    
    Mais je n'étais pas suffisamment attiré par elle pour avoir envie de la lécher, moi qui pouvait bouffer certaines chattes avec frénésie. Elle mouillait beaucoup, la salope. J'imagine que son mari devait la sauter très régulièrement. C'était un chaud lapin, elle me le disait. Néanmoins, elle goûtait la nouveauté de ma grosse bite qui lui causait à chaque fois une délicieuse surprise, lorsque je posait ses longues jambes sur mes épaules, en pointant le bout sur le jardinet coquettement taillé de sa vulve.
    
    Après l'avoir minée assez longtemps, je commençais à débander. Elle n'était pas assez serrée, et je devais la retourner, solution toujours utile, pour la fourrer avec plus de sensation. Katharina en levrette était plus jouissive que Katharina en missionnaire.
    
    Le gros membre assez foncé ...
    ... faisait merveille entre les deux fesses blanches, tristes et molles, dont la vulve, gavée de bite, pleurait toute sa mouille.
    
    Comme elle était souple, je lui avait demandé une fois de se pencher en avant, debout, les jambes écartées. J'avais saisi ses hanches satinées, et debout, moi aussi, je la limais comme un ouvrier en plein forage.
    
    Après nos séances dans notre groupe, elle me raccompagnait à la gare dans sa petite voiture. Nous n'avions pas beaucoup de temps.
    
    elle se garait dans un chemin discret, derrière une sorte d'entrepôt. Je sortais alors ma queue pour qu'elle me suce, ce qu'elle faisait volontiers. Comme nous ne voulions pas faire de taches, je me branlais dans un préservatif, tandis que Katharina glissait sa langue de pute sur mes couilles. Le chatouillement provoqué par la langue de la vielle bourgeoise sur mes bourses accélérait la montée furieuse de ma semence. Je ne tardais pas à gicler délicieusement, avec la tête de Katharina couchée sur mes cuisses, Katharina ne bougeant que sa langue.
    
    Après un dernier baiser, je lui disais au revoir. Je prenais mon train. Aux toilettes, je me savonnais la queue, et non sans attendrissement, retrouvait sur mes couilles les traces humides de la salive de Katharina. Au même moment, elle devait être rentrée chez elle, embrassait peut-être son mari, qui ne se doutait pas que cette bouche qui lui parlait venait de faire jouir un homme en lui gobant les couilles. 
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