1. mûres59/cette retraitée me bouffait les couilles


    Datte: 23/06/2021, Catégories: Mature, Auteur: langauchat, Source: xHamster

    J'ai déjà raconté dans quelles circonstances ma queue s'est réjouie dans la chatte et la bouche de Katharina, une grande femme de 65 ans environ, ancienne blonde bourgeoise s'efforçant de paraître jeune.
    
    Nous n'avions pas grand' chose à nous dire. Elle venait me voir l'après-midi pour se faire tirer, il n'y a pas d'autre terme.
    
    Elle avait été facile à séduire. Nous nous étions rencontrés au sein d'un groupe dans lequel j'étais naturellement mis en valeur.
    
    La barrière linguistique nous interdisait de longs discours.
    
    Lorsque nous avions échangé quelques mots la première fois, nous savions d'avance, peut-être sans en être bien conscient, que nous allions tirer du plaisir en emboîtant nos parties génitales.
    
    Lorsque nous parlions, c'était en fait nos sexes qui voulaient se rencontrer. Sa vieille chatte mal baisée devait lui dire: "Laisse donc venir sa bite en moi, regarde, il a l'air gentil, il est plus jeune que ton fils, et puis tu as tout de même quelques sentiments pour lui. Si ça se trouve, il a déjà envie de te la fourrer vigoureusement. Cela te changera les idées"
    
    De mon côté, j'étais excité par son allure d'ancienne séductrice. Sa coiffure soignée, de couleur presque platine, ses lèvres légèrement gonflées par le Botox, son corps svelte mais automnal me promettait des giclées mémorables. Il était clair que le premier rendez-vous nous permettrait tout de suite de basculer dans une intimité sensuelle.
    
    La conversation tournait court, mais ses yeux ...
    ... gris-bleus et cernés de maquillage m'encourageaient à m'approcher de son visage.Nos bouches se rencontrèrent sans tarder. La langue de la vielle blonde exprimait d'humides promesses.
    
    Je ne crois pas utile de redire ce que j'ai déjà raconté.
    
    J'aime tout de même repenser aux sensations qui m'habitaient lorsque, depuis ma fenêtre, je voyais la petite voiture de Katharina se parquer devant chez moi. Il lui arrivait, à peine entrée, de s'agenouiller juste après m'avoir embrassé langoureusement. Elle devait aimer se sentir chienne, la bouche remplie par ma bite, toute soignée et pomponnée comme une bourgeoise qu'elle était, mais à genoux comme une pute, la bouche faisant office de vagin accueillant pour la bite d'un jeune homme qui la vengeait, sans le savoir, de de son mari.
    
    J'étais debout, tout habillé, la queue pulsant hors de ma braguette. Elle aussi, à genoux, les lèvres ourlées autour de mon gland, levant les yeux vers moi. En gardant nos vêtements, nous vivions une scène d'un érotisme particulier, que la nudité au lit n'offrait pas. C'est comme si nous mettions en scène un désir si puissant, si soudain, que nous n'avions pas eu le temps de nous déshabiller. Il fallait qu'elle suce, c'était une urgence. Nous ne pouvions pas attendre.
    
    En fait, nos rapports n'étaient pas si passionnels. Nous avions envie de baiser, c'est tout. Katharina était excitée de se voir jouer ce rôle de la vieille salope mariée qui se prend une giclée dans la chatte à la barbe de son mari.
    
    Ses ...
«12»