1. Jérém&Nico Saison 2 Episode 01 Recommencer sans lui.


    Datte: 23/06/2021, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Fab75du31, Source: Hds

    ... ça, ça n’arrivera jamais, entre nous c’est que de la baise… alors viens me sucer… ».
    
    J’entends quelqu’un frapper violemment à la porte ; ça résonne dans ma tête, c’est assourdissant ; j’essaie de protéger mes oreilles avec mes mains.
    
    « Tu attends quoi, de moi, Nico ? ».
    
    « Je ne sais pas… ».
    
    « Tu t’es jamais posé la question de savoir ce que j’attends de toi ? ».
    
    Mais les coups sont de plus en plus forts, tout tremble autour de moi, jusqu’à ce que…
    
    Jusqu’à ce que je me réveille de mon horrible cauchemar, un autre…
    
    Je suis sur le canapé, chez moi. Oui, quelqu’un tape à la porte, et à cette heure ça ne peut être que Jérém. Il revient de la brasserie, il est en pause et il est venu me baiser : il m’avait prévenu, mais je me suis endormi en l’attendant.
    
    J’ouvre la porte, le bogoss rentre aussitôt et il me colle direct au mur ; il me roule une longue, intense pelle : sa fougue est si bouillante qu’elle me coupe le souffle.
    
    Je le repousse, le temps d’un geste vital, celui de le débarrasser de son t-shirt blanc qui me rend dingue depuis le premier jour, le temps d’assouvir un besoin tout aussi vital, celui de me retrouver devant son torse de rugbyman.
    
    Le bogoss revient à la charge, il m’embrasse comme un fou ; je suis chauffé à bloc et je laisse mes mains dériver sur la peau douce de son torse.
    
    Je le sens sursauter d’excitation, je sens sa queue gonfler dans son jeans ; mes lèvres quittent les siennes et je ne peux résister à la tentation de passer ...
    ... ma langue autour de ses tétons, si saillants, si doux ; de descendre le long de la ligne médiane de son torse, de m’attarder dans ce nombril entouré de tablettes de chocolat ; et, pour finir, de glisser le long de ce chemin du bonheur, de cette pilosité fine, douce, tiède.
    
    Me voilà à genoux, en train de défaire sa ceinture, sa braguette, de sortir sa bite du boxer.
    
    Elle est droite, belle, bien tendue, avec un beau gland qui donne instantanément envie de le prendre en bouche. Alors je le prends en bouche et, en quelques coups de langue, je le rends dingue de plaisir. Et je me rends dingue de plaisir. Je fais monter la sauce progressivement, lentement, je ne veux pas qu’il jouisse trop vite. J’ai envie de le chauffer, avant qu’il ne me fasse l’amour.
    
    Je suis sur le canapé, et Jérém est en moi, en train de me baiser divinement. J’adore me sentir possédé par sa queue, dominé par sa puissance virile. Le plaisir est tellement intense que je ne peux pas me retenir, je perds pied, je ferme les yeux et je viens…
    
    Pendant que je jouis, je l’entends me balancer : « Vas-y, mouille bien petite pute, tu mouilles comme toutes les pisseuses et les autres tafioles que je m’enfile… profite bien de ma queue, parce que c’est la dernière fois que tu y goûtes ! ».
    
    C’est là que je me réveille, en nage.
    
    Lorsque je rouvre les yeux, il fait noir autour de moi. Que se passe-t-il ? Où suis-je ? Suis-je enfin réveillé ou c’est encore un cauchemar ? J’ai du mal à émerger après tous ces ...
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