A l'hôtel - Histoires de Sexe

A l'hôtel

... Oui, tout de suite.

Je sais très bien que ta réponse n’est pas une réelle hésitation : tu m’as confirmé hier que ce genre de situation t’excitait tout autant que moi. Tu es obligée de te remonter un peu sur le siège pour pouvoir baisser ta culotte avant de la faire glisser le long de tes jambes et de me la passer brièvement sous le nez. Ce n’était pas prévu, mais j’apprécie le geste tout comme j’apprécie la légèreté dont tu fais preuve dans ces moments-là.

— Remonte un peu ta robe que je puisse voir ta chatte.

Le ton de ma demande ainsi que le vocabulaire employé font que tu t’exécutes docilement, et j’en profite pour jeter un œil sur cette partie de ton corps que j’apprécie particulièrement. Le mont de Vénus n’est pas glabre ; il y a juste ce petit trait de poils taillés qui indique la direction à suivre. Je peux retourner poser ma main au même endroit, sauf que je sens maintenant tes lèvres et ton humidité au bout de mes doigts.

La situation m’excite beaucoup ; le fait de te savoir presque nue avec ma main posée sur ton sexe, au milieu de la circulation, me fait t’imaginer dans d’autres situations encore plus osées et il me tarde d’un coup de sentir ta main ou ta bouche autour de mon sexe.

Nous arrivons déjà dans la cour de l’hôtel avant que je n’aie vraiment eu le temps de te caresser plus profondément, et je me fais la réflexion qu’il faudra sûrement prendre un hôtel plus loin la prochaine fois. Encore une différence entre le fantasme où tout se passe bien ...

... et la réalité où il faut s’adapter.

Nous ne nous attardons pas trop à la réception et j’arrive à résister à l’envie de glisser ma main sous ta robe pendant que nous prenons les clés. En revanche, impossible de m’en empêcher dans l’escalier, et mes doigts retrouvent vite le chemin de ton sexe. Vu ta façon d’écarter les jambes pour me laisser faire, j’imagine que ça ne te dérange pas trop non plus. Nous arrivons à progresser tant bien que mal jusqu’à la chambre ; heureusement pour nous que les couloirs sont vides à cette heure-là !

Nous avions prévu que tu me suces dès notre entrée dans la chambre, mais ces couloirs vides m’ont donné une autre idée. Je défais mon pantalon et je sors mon sexe avant de te faire accroupir devant moi. Je n’ai pas besoin de te demander quoi que ce soit ; tu as déjà mon gland au fond de ta bouche. Je déverrouille quand même la porte de la chambre et la laisse ouverte : on ne sait jamais, si on doit rentrer en urgence. Je profite ensuite du spectacle et des sensations. Autant une fellation peut être limite ennuyeuse si on sent que sa partenaire n’est pas vraiment motivée, autant ce n’est jamais le cas avec toi. On voit que tu aimes ça et que tu en as envie, et en plus tu sais vraiment y faire. Tu alternes les coups de langue sur le gland et sur l’ensemble de la verge avant d’enfourner la presque totalité au fond de ta bouche. Si je continue à te regarder faire, comme ça, dans un couloir d’hôtel, avec la robe relevée, je ne vais pas pouvoir tenir ...