A l'hôtel - Histoires de Sexe

A l'hôtel

... et éclabousser lors de tes orgasmes quand je te caresse avec mes doigts. Nous avons été assez surpris tous les deux la première fois : cela ne nous était jamais arrivé avec nos précédents partenaires. Depuis, j’y ai pris goût et je dois avouer que je n’hésite plus à te caresser sans ménagement pour te faire jouir et pour que tu te retrouves avec les cuisses et le bas-ventre complètement trempés.

J’en ai profité aussi pour regarder l’heure en passant dans la salle de bain : il me reste une demi-heure avant que Jérôme n’arrive, suffisamment de temps pour bien t’exciter et te préparer.

Je te débarrasse de ta robe et de ton soutien-gorge, et je te fais t’installer confortablement sur le dos, les jambes bien écartées. Je profite un instant de la vue ; j’adore te voir indécente et offerte comme ça.

Je me couche à côté de toi et je fais entrer deux doigts dans ton vagin déjà bien humide. Je les fais bouger tout en t’embrassant dans le creux du cou ou sur le lobe de l’oreille. Je sais que tu es très réceptive dans ces moments-là à l’évocation de situations ou de fantasmes excitants. Je commence alors à te murmurer à l’oreille :

— Tout à l’heure, je vais te bander les yeux et quelqu’un viendra te regarder te branler. Quand il sera bien excité, il te collera sa queue contre la bouche et tu devras le sucer. Tu finiras avec sa queue dans la chatte pendant que tu auras la mienne dans la bouche.

Toutes ces phrases font leur petit effet, et je sens ton vagin se contracter ...

... autour de mes doigts tout comme j’entends le clapotis s’amplifier à chaque fois que mes doigts bougent à l’intérieur.

— Je t’enculerai devant lui avant de lui laisser la place pour qu’il te prenne à fond et qu’il jouisse dans ton cul.

J’augmente la cadence et je te sens te raidir et resserrer les jambes d’un coup, en emprisonnant ma main entre tes cuisses. J’abandonne alors ton vagin et tu te laisses aller un moment, dans la position de l’étoile de mer, comme tu l’appelles, jambes et bras écartés. Je ne te laisse pas trop de répit ; je sais que l’heure tourne et que Jérôme ne va pas tarder.

— Mets-toi à quatre pattes, je n’en ai pas fini avec toi.

Tu exécutes mon ordre pendant que je cherche dans mon sac le masque de voyage que j’ai pris pour l’occasion. Je te le tends et tu le positionnes sur son visage.

— Je vais te préparer car j’ai très envie de t’enculer tout à l’heure. Caresse-toi, pour l’instant.

Je récupère dans ton sac le plug et le lubrifiant que tu as préparés chez toi et je les pose sur le lit. Je te regarde un moment te caresser, en savourant la vue que tu m’offres sur tes fesses et ton sexe. Je jette un œil sur mon téléphone pour vérifier qu’il n’y a pas encore de message de Jérôme.

Ma langue s’approche alors à nouveau de ton anus et s’enfonce à l’intérieur. Ce n’est pas vraiment dans un but de lubrification, il faut l’avouer, mais plus parce que je sais les sensations que ça procure et que j’aime les partager avec toi. Après avoir joué ...