1. Un accident dans la véranda


    Datte: 20/06/2021, Catégories: Épouses affectueuses, Auteur: byRobertomaloch, Source: Literotica

    Résumé : Un vieux jardinier s'est coupé sur tout le corps avec du verre. Pour nettoyer ses plaies, un couple doît dévêtir le blessé et découvre une merveille de la nature.
    
    Mots clés : Cocu Soumis Voyeur Vieux Maigre PlusGros Arabe GrosSexe Sale
    
    ************************************************************
    
    Ma femme et moi venons d'avoir quarante ans. Nous vivons dans les alentours de Perpignan dans une grande villa avec vu sur la mer. Nous travaillons tous les deux dans les ressources humaines. Ma femme, Karine, est DRH chez un petit groupe pharmaceutique, tandis que moi, Stéphane, je fais passer des entretiens d'embauche pour une chaine de supermarchés. Passionnés par notre travail respectif, nous n'avons jamais eu le temps d'avoir un enfant. Physiquement presque tout nous oppose... Elle est petite, mate de peau ; ses hanches sont larges et sa poitrine généreuse. Je suis grand, mince, les cheveux obscur et le teint pâle.
    
    Depuis peu, une association humanitaire nous a demandé d'héberger un vieux réfugié libyen qui a fui son pays pendant la révolution. Ali est musulman, il ne parle pas français et c'est parfois compliqué de communiquer avec lui. Nous ne connaissons pas son âge, mais il doit être plus vieux que mon père. Son visage maigre et flétri est toujours souriant, malgré les aléas qu'il a dû subir. Ses yeux, abrités derrière d'épaisses lunettes, laissent souvent transparaitre la fatigue du vieil homme. Nous ne lui demandons jamais rien, mais Ali aime se rendre ...
    ... utile, pendant que nous travaillons il s'occupe d'entretenir notre jardin : il tond la pelouse, il nettoie la piscine ... etc. ...
    
    Ce jour-là, ma femme était venue me chercher au travail dans notre décapotable. Depuis l'allé qui conduis au garage on apercevait Ali en haut d'une échelle en train de décoincer une de mes balles de golf perchée sur le toit. Lorsqu'il nous entendit, il tourna son torse grêle et leva son bras écharné pour nous saluer. Avec le mouvement, l'échelle vacilla et le vieil arabe perdit l'équilibre. Affolé, il tomba sur le toit vitré de la véranda qui s'écroula sous son faible poids.
    
    Nous accoururent dans cette loggia pour voir l'étendue des dégâts. C'était un désastre, il avait perdu connaissance. Son corps ancien gisait sur le sol, entre nos sièges en rotin. Des éclats de verre le taillaient sur tous le corps. On distinguait, sous sa tunique traditionnelle, des tessons pointus enfoncés dans ses jambes, son torse et ses bras. Tremblant, je n'osais pas le toucher de crainte de le blesser davantage. Karine, accroupis à côté de lui, avait commencé à le nettoyer. Je m'assis et regarda. La situation était désagréable et le vieil homme sentait fort. « Va chercher un coussin pour sa tête » dit-elle agacé de me voir inactif.
    
    Quand je revins avec un oreiller remplis de plumes, ma femme avait déjà enlevé quelques éclats. « Ça sent le bouc » dis-je pour dédramatiser la situation. Elle ne me regarda pas, elle se concentrait sur les cuisses velues. Elle fut ...
«1234»