1. Monsieur Paul et les peintres


    Datte: 20/06/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Mectôtverseau, Source: Hds

    ... hommes se rapprochent tout contre elle, et ne se privent plus de toucher la peau du dos ou des bras, pour lui montrer ceci ou cela, la faire regarder dans telle ou telle direction. A chaque attouchement, la visiteuse sent une mini secousse électrique qui comble les deux hommes.
    
    Odette flageole un peu, rit fort, et ne peut empêcher ses tétins de pointer. Elle sent bien une chaleur grandissante, mais est trop grise pour se demander pourquoi.
    
    - Bon ! Lance Jean-Jacques. Il faudrait quand même aller voir si le petit chat a faim !
    
    - Le petit chat ? Fait Odette.
    
    Jean-Jacques, qui sait quel amour elle porte à ces félins, la prend fermement par la main sans qu’elle y voie un inconvénient. Etourdie et brûlante sous l’effet de la préparation du pharmacien, elle monte, soumise et toujours plus rigolarde aux allusions cochonnes, les escaliers qui mènent à l’étage.
    
    Le peintre ne lâche pas sa main tandis que Monsieur Paul sonne l’hallali ; il soulève le bas de la robe et dégage les fesses rebondies, dont la longue raie culière est parcourue par la ficelle du string, blanc lui aussi. Quel affriolant spectacle ! Et pourtant, ce n’est rien à côté de celui de tous ses trous embrochés par leurs queues, dont ils garderont précieusement le témoignage en lieu sûr. Elle est vraiment un appel à la luxure !
    
    Odette retire la main du voyeur en s’indignant un peu, mais sans conviction tellement son corps la chauffe :
    
    - Qu’est-ce que tu fais espèce de cochon ?
    
    Elle l’a tutoyé, ...
    ... et c’est un autre signe de reddition pour Monsieur Paul, expert en préparation de baise. Ils montent les dernières marches, la jeune femme tirée par la main et Monsieur Paul sortant un tube de sa poche.
    
    Arrivés en haut, la porte est ouverte. Odette remarque bien l’immense lit très haut au milieu de la pièce, le paravent, mais cherche des yeux le matou affamé.
    
    - Alors, il est où le petit chat ?
    
    Monsieur Paul s’adosse au mur à côté de la porte, et attire le dos d’Odette contre sa poitrine solide. Il n’en peut plus d’attendre, mais on ne galvaude pas un mets de choix comme celui-ci. Qu’est-ce qu’on va lui mettre ! Se dit-il, sûr de lui.
    
    La jeune femme ressent cette fois-ci l’immensité de son excitation au contact du long bâton qui s’imprime dans sa raie. Jusqu’à maintenant c’était naissant, mais là, elle est rattrapée par son tempérament et en frémit.
    
    - Ecarte-lui les bras en croix et bouffe-lui la langue ! Ordonne-t-il à jean-Jacques.
    
    Odette, malgré elle, est cinglée par les propos.
    
    Quand elle livre sa bouche à Jean-Jacques, Monsieur Paul s’est enduit tous les doigts de sa crème, et ceux-ci entrent alors en action.
    
    D’abord, il passe par les flancs de la robe pour se glisser jusqu’aux globes souples et s’en prend aux bouts érigés bien durs. Il les masse méticuleusement sans qu’ils perdent de leur superbe.
    
    Puis, pour affirmer son autorité, pendant que son ami peintre baise les lèvres une à une et suce la langue domptée, il tire à nouveau la robe vers le ...
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