1. Monsieur Paul et les peintres


    Datte: 20/06/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Mectôtverseau, Source: Hds

    ... alors en action.
    
    D’abord, il passe par les flancs de la robe pour se glisser jusqu’aux globes souples et s’en prend aux bouts érigés bien durs. Il les masse méticuleusement sans qu’ils perdent de leur superbe.
    
    Puis, pour affirmer son autorité, pendant que son ami peintre baise les lèvres une à une et suce la langue domptée, il tire à nouveau la robe vers le haut d’un coup sec. Et toujours avec application, il fourre sa main entière à l’intérieur du string pour malaxer la motte, les grandes lèvres, les petites lèvres, et finit par le bouton dardé.
    
    Enfin pendant que maintenant Jean-jacques lèche la femelle dans le cou, sur les épaules, lui gobe les lobes d’oreilles, reprend sa langue, la crucifiée sent des doigts qui écartent la ficelle de son string. Une main écarte une fesse, et à nouveau trois doigts inquisiteurs enduits copieusement d’ onguent délogent la rondelle fripée. Odette renâcle, se tord, ce qui finit par obliger les deux agresseurs à l’amener contre le lit et la jeter dessus.
    
    - Il faut que je la finisse ! Décrète Monsieur Paul. Il lui faut sa dose !
    
    Odette subit les yeux perçants du pharmacien qui la fixe comme un véritable prédateur.
    
    Il lit très bien sur les visages et voit que cette femme, aux mirettes grandes ouvertes délicieusement pitoyables, commence à découvrir son potentiel sexuel et en est désorientée. Exactement comme sa petite préparatrice brune, Nathalie, quand sa femme et lui lui avaient joué
    
    la symphonie des godes.
    
    Pour ...
    ... masquer ça, Odette se laisse allonger sur le ventre. Elle a les tétons qui réclament de se faire téter, le con qui mouille, et le petit trou qui frémit.
    
    Chacun des deux hommes passe une jambe entre ses cuisses pour les écarter.
    
    Ainsi immobilisée, leur proie ne voit pas le manège dans son dos : les phalanges qui se crèment, les langues qui passent entre les lèvres pour montrer leur joyeuse gourmandise, les yeux émerveillés de tant de beauté picturale.
    
    Ce corps halé juste habillé du tissu blanc qui lui barre le dos, celui remonté en bouchon au-dessus des rondeurs jumelles, et le cuir ajouré qui lui ceint les pieds et les chevilles : tout est incitation à la possession.
    
    Maintenant, c’est bel et bien les fesses d’ Odette qu’on ouvre, et son trou de balle que les salauds entreprennent de oindre lentement, savamment, de tous leurs doigts, la maintenant bien immobile. Elle donne du « ahhh » quand ça frotte, et bientôt du « ohhh » quand Monsieur Paul montre la voie en insérant la première, puis la deuxième phalange de son médius. Il sent parfaitement, aux soubresauts de son corps, qu’elle va se donner, et que ça va être particulièrement excitant de la faire patienter.
    
    Elle avait bien eu raison de répondre « qu’encore, Jean-Jacques n’avait rien vu », quand il avait complimenté son derrière.
    
    - Maintenant, lèche-la encore et écoute !
    
    Le doigt toujours fiché dans l’orifice, il glisse son autre main sous le ventre de la femelle pour atteindre la moule suintante. Il ne lui ...
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