1. Le pêcheur converti


    Datte: 20/06/2021, Catégories: fhh, hbi, inconnu, bizarre, plage, bain, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral 69, Partouze / Groupe fdanus, hdanus, init, merveilleu, Auteur: Surprises, Source: Revebebe

    ... mes lèvres, je sentais son regard encourageant, presque maternel.
    
    Je ne pouvais résister plus longtemps, je débordais d’envie et d’amour pour cette queue gonflée de sève et je la pris en bouche, au comble du bonheur. Je le suçais, je le dévorais avec passion, comme une femme amoureuse, comme une sirène gourmande.
    
    « Oh. Yannou, que fais-tu ?… Yannou, tu es fou, tu suces un gars ? devant une fille ? »
    
    En fait mes hésitations avaient vite disparu, et j’étais éperdu de reconnaissance pour ma sirène qui me guidait si habilement vers tous ces plaisirs insoupçonnés. Et je m’appliquais, heureux de son regard tendre et intéressé, je n’éprouvais plus de gêne. J’embrassais ses couilles, je le suçais avec ferveur. Un court instant, elle reprit le membre de son compagnon en main, pour le porter à sa bouche, pour faire glisser sa langue tout du long, et de nouveau, je fondais, sous son regard à la fois mutin et maternel. Je la rejoignis, nos langues se mêlèrent amoureusement autour du sexe dressé de son homme, c’était si doux… Comme je le désirais ! Elle s’occupa de mon membre à moi, le bécotant tendrement, me tendant la queue de son compagnon. Et moi, tout reconnaissant, je l’avalai goulûment ! Je ressentais ce merveilleux privilège, habituellement réservé à l’autre sexe, le privilège de tenir à ma merci entre mes mains, entre mes lèvres, la belle queue, les douces couilles d’un homme.
    
    « Yannou, tu deviens pédé ? … mais c’est si vous saviez comme c’est bon, une bonne queue ...
    ... d’homme à sucer ! »
    
    Je vous le répète, c’était miraculeux… elle ne lâchait pas la barre, cramponnée autour de ma queue dressée. Sans se démonter, elle maintenait mon humble petit cul d’homme sous sa domination, ou sous sa protection. Oui, elle avait su trouver le chemin pour vaincre mon petit orgueil de mâle et mon cul d’homme, mon cul de Breton farouche, car malgré moi, mon petit trou s’ouvrait, avouant humblement son désir. Je m’ouvrais à elle, gagné par son assurance, et je désirais lui donner tout mon être, mon cul, ma queue, gagné par une confiance heureuse, en dépit de la fureur de la tempête. Mon petit cul d’homme se donnait, se soulevait, s’ouvrait sous ses caresses, implorant sa langue, ses doigts, je me faisais femme-homme, avec mon petit trou qui mouillait presque, tel une fente féminine, avec ma queue bandée par le plaisir, avec sa queue dont ma bouche ne se lassait plus. Et j’étais heureux de montrer à mon initiatrice comme je suçais bien à présent, combien j’adorais moi aussi la queue de son homme, combien j’étais heureux d’être devenu pédé.
    
    Qui dominait, qui était soumis ? Sans doute, un peu chacun d’entre nous, en ce tendre trio… Qui domine, qui se soumet, entre celui ou celle qui investit tendrement et vigoureusement les fesses de l’autre, entre celle ou celui qui retient l’autre au milieu des douceurs de son cul alangui ? Qui domine, qui est soumis, quand la chatte de l’une, quand la queue de l’autre est dévorée par une langue et des lèvres amoureuses, ...