7 juin-14 juin - Histoires de Sexe

7 juin-14 juin

... celui de ses bras. Sa chevauchée devient endiablée. Elle qui avait dit : « fais doucement. » Elle étouffe un cri qui finit en une sorte de feulement. Je gicle dans ses intestins. Je suis vidé dans tous les sens du terme. Ma bite perd sa rigidité et est chassée de son cul. Anne s’effondre plutôt quelle ne s’allonge à côté de moi. Elle m’embrasse avant de me dire :

— Quand tu m’as proposé de… enfin… de…
— T’enculer.
— Oui, je n’étais pas rassurée. Lorsque tu bandes, tu as entre les jambes un calibre quand même supérieur à celui d’un manche à balai. Au moment où tu t’es présenté pour… m’enculer, j’ai cru que ça ne rentrerait pas, que ça allait me déchirer. J’ai du faire un effort pour ne pas serrer les fesses au propre comme au figuré. Et puis, j’ai senti que tu réussissais à entrer, que petit à petit mon sphincter se dilatait. Cela me faisait un drôle d’effet, mais ce n’était pas à proprement parler douloureux. J’ai été surprise quand tu m’as dit que tu étais rentré entièrement, que j’ai senti ton ventre me toucher les fesses. Je pensais que ça aurait été plus difficile, plus pénible même.
— Et la suite, tes impressions ?
— Quand tu as commencé à me pistonner, j’ai réussi à rester détendue. Ton instrument coulissait bien, sans que je sois irritée. Rapidement je n’ai plus eu d’appréhension. À partir de là j’ai commencé à y prendre un certain plaisir. De penser au spectacle que je t’offrais y a beaucoup aidé. Après le changement de position, les choses se sont accélérées. ...

... L’action de ta queue dans mon cul, les caresses de mes mains et la vision de tout cela m’ont amenée à prendre mon pied. Je ne pensais pas y arriver.
— Alors, tout est bien qui finit bien.
— Et si nous allions reprendre une petite douche, après ces émotions ?
— Voilà une bonne idée.

Nous retournons à la salle de bains. Après de nouvelles ablutions, tandis que nous revenons au lit, Anne me dit :

— Ça me fait quand même un peu chaud aux fesses.
— Elles ont été pas mal occupées aujourd’hui. Après une longue inactivité, c’est normal qu’elles fatiguent
— Il faut qu’elles se remettent, mais il ne faudra pas les laisser reprendre de mauvaises habitudes de paresse.
— J’y veillerai.
— Je n’en doute pas.

De retour sur le lit, le sommeil nous emporte.

Lundi 14 juin. Mont et merveille

Anne et moi nous réveillons frais et dispos. Enfin frais c’est beaucoup dire, car il continue de faire très chaud. Une fois vêtus, nous rejoignons la cuisine. Dominique s’y trouve déjà. Elle fait chauffer l’eau pour le thé. Nous l’embrassons. Nous mettons la table et faisons griller quelques tartines. Quand tout est prêt Dominique va réveiller sa sœur. Vingt minutes plus tard tout le monde est dans la voiture, avec moi comme chauffeur. Direction Le Mont Saint-Michel. Celui-ci est à un peu moins de 50 km. Il est à peine neuf heures quand nous arrivons. Une fois passé la porte, nous montons sur les remparts par un petit escalier sur la droite. Nous y flânons jusqu’à l’entrée de l’abbaye. ...