7 juin-14 juin - Histoires de Sexe

7 juin-14 juin

... chercher. Mais elle m’avait laissée seule à la maison le dimanche. En furetant dans le grenier, j’étais tombée sur une malle fermée. Cela m’avait intriguée. J’ai été fouiller dans les affaires de Maman et j’ai trouvé la clef. J’ai ouvert. Dedans, il y avait des livres. Des livres à ne pas mettre entre toutes les mains. Il y avait le marquis de Sade, Guillaume Apollinaire, Pierre Louys, Mirabeau et d’autres moins connus ou anonymes. Certains étaient illustrés, les uns de dessins, d’autres de photos. Je les ai feuilletés le reste de la journée. Quand j’ai vu s’avancer l’heure, j’ai refermé la malle, mais pas à clef. J’ai été remettre le trousseau à sa place. J’avais gardé un petit livre illustré pour l’emmener au pensionnat malgré les risques. Ces lectures m’avaient ouvert des horizons. Un jour de la semaine suivante, avant le dîner où nous avions du temps libre toutes les deux, j’ai montré l’ouvrage à mon amie. Elle n’avait jamais rien vu de tel. Quand je lui ai expliqué ce que je voulais faire le jeudi suivant, elle n’était pas vraiment partante.
— Qu’était-ce, interrompt Gwendoline.
— Soit patiente. J’y viens. Je disais donc qu’elle n’était pas vraiment partante. Moitié cajolerie, moitié menaces, je l’ai convaincue.
— Menaces ? M’étonnais-je.
— Voilées. J’avais quelques moyens de pression.
— Elle aussi, répliquais-je.
— C’est vrai. Mais moins. D’abord je n’avais que quinze ans et elle dix-sept. Ensuite j’étais une bonne élève bien notée. Sans jamais de problèmes de ...

... conduite. Elle avait plus de difficultés avec ce dernier point. Et enfin, elle avait des petits grains de beauté placés à des endroits que je n’avais pas à connaître.
— Que s’est-il passé le jeudi ? La pressa Gwendoline.
— J’y viens. Le jeudi, donc, après le repas de midi, nous avons rejoint la chambre secrète. On s’est déshabillées. C’est d’abord elle qui m’a caressée. Je suis venue très vite, car j’étais excitée par ce que je voulais faire.
— Et que voulais-tu faire ? S’impatiente Gwendoline.
— L’enculer.
— Quoi ! S’exclament en cœur Dominique et Gwendoline.
— L’enculer. Le bouquin que j’avais amené en parlait beaucoup, en donnant pas mal de détails et en plus, il y avait les illustrations. Je l’ai faite mettre à quatre pattes, la tête sur les avant-bras. Bien cambrée. Les genoux écartés le plus possible. J’ai commencé par lui câliner le minou. Ensuite j’ai enduit le bois et son œillet de beurre, comme je l’avais vu dans le livre, dont j’ai d’ailleurs suivi les indications dans la suite des opérations. Je lui ai recommandé de se décontracter. De ne pas serrer les fesses. J’ai commencé à lui titiller sa rosette pour la détendre. Puis j’ai enfoncé progressivement le truc dans son cul. Elle a un peu protesté que ça faisait mal, que ça la brûlait. Je lui ai répliqué que dans le livre, il était expliqué que c’était normal les premières fois. Pour finir tout est rentré. Les premiers allers et retours ont été un peu difficiles. Mais après cela a été mieux. Ensuite, je l’ai ...