1. 7 juin-14 juin


    Datte: 16/05/2018, Catégories: fh, ffh, jeunes, alliance, Collègues / Travail vacances, plage, noculotte, photofilm, Masturbation Oral 69, fgode, pénétratio, fdanus, fsodo, Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe

    ... besoin urgent et me suis précipitée aux cabinets. J’ai poussé un soupir de soulagement. Il était toujours là. Personne ne l’avait trouvé. Je l’ai récupéré. Pour le sortir discrètement j’ai suivi tes conseils. Je l’ai mis à l’abri bien au chaud. Là où personne n’irait le chercher.
    
    Je lui ai demandé :
    
    — Alors tu as fait le voyage de retour comme à l’aller ?
    
    Elle a acquiescé.
    
    — Et il est toujours à l’abri ?
    
    Elle a fait oui de la tête, avant d’ajouter, d’une voix un peu altérée :
    
    — Tu veux peut être vérifier s’il est bien en place ?
    
    On s’est éclipsés dans un endroit discret. J’ai pu constater longuement que l’objet était bien en place. Ce faisant, je lui ai demandé si elle s’était dépucelée avec ça. Elle m’a répondu qu’elle était fiancée avec un garçon, qu’ils devaient se marier quand il aurait fini ses études et qu’avec un peu d’avance, il avait ouvert la voie. La cloche du dîner nous a interrompues.
    
    — Vous êtes vous revues souvent ? demanda Gwendoline décidément très intéressée.
    
    Anne rit de nouveau en répondant :
    
    — On peut dire que tu te passionnes pour les souvenirs d’adolescence de ta mère. En semaine, quand la pension fonctionnait, il n’était pas aisé de trouver un endroit sûr et discret. Ce n’était que furtivement que je pouvais vérifier si elle portait ce que nous appelions son truc ou son machin ou la chose et s’il était bien en place. Mais le samedi suivant, j’ai réussi à chiper la clé d’une chambre de pionne inoccupée parce que trop loin ...
    ... des dortoirs. Le dimanche, ses parents l’ont ramenée tôt dans l’après-midi. Je lui ai montré ma prise, nous sommes passées prendre son truc…
    
    Je l’interromps pour demander :
    
    — Où le dissimulait-elle, quand elle ne l’avait pas avec elle ?
    — Dans la doublure de sa valise. Elle l’a pris avec elle à l’endroit habituel et nous avons filé jusqu’à la chambre. La porte fermée, la main sous sa jupe, j’ai manœuvré son machin. J’ai fini par trouver que sa culotte était gênante. Aussi, je lui ai dit de se déshabiller. Je pensais qu’elle allait simplement quitter son slip, mais elle a tout retiré sauf ses socquettes. C’était une belle fille. Elle avait une poitrine plus forte que la mienne. Ses tétons se dressaient. J’ai tendu les mains et j’ai caressé ses seins, tout en pinçant un peu les bouts. Elle avait l’air de bien apprécier. Elle a fini par se renverser sur le lit. Je me suis installée à ses cotés. D’une main, je continuais de m’occuper de sa poitrine, tandis que de l’autre je reprenais le contrôle de son truc et lui caressait le bouton. Elle a ouvert ses cuisses en grand et son bassin s’est mis à onduler. À un moment, elle m’a regardée droit dans les yeux pour me dire :
    — Tu dois te caresser toi aussi pour savoir aussi bien t’y prendre.
    
    Sa réflexion m’a tétanisée. Je restais immobile. D’une voix suppliante elle m’a dit :
    
    — Oh non ! Ne t’arrête pas. C’est trop bon.
    
    J’ai repris mes caresses. Après avoir gardé le silence quelques instants, je lui ai répondu d’une petite ...
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