7 juin-14 juin - Histoires de Sexe

7 juin-14 juin

... Dominique.

Sentant qu’elle va proposer de les regarder séance tenante, j’interviens :

— Dînons d’abord, on s’occupera des photos ensuite, car cela risque d’être assez long.

Gwendoline, qui est excitée comme une puce, accepte à regret. Nous passons à table. Le repas est vite expédié. Une fois la table débarrassée, je vais chercher les planches avec les photos de Dominique, tandis que Gwendoline sort les siennes et les albums. Nous commençons par les photos dont Gwendoline est le modèle. En les regardant, nous les rangeons par séries dans les albums, éliminant celles que nous trouvons plutôt ratées. Nous commençons par celle sous la douche. En y voyant sa sœur se caresser et se mettre un doigt dans le minou, Dominique s’exclame :

— Maintenant, je comprends pourquoi tu passes autant de temps dans la salle de bains !
— Tu y passes autant de temps que moi, lui répond Gwendoline du tac au tac.

Nous passons ensuite à la série où elle se caresse. Dominique et moi échangeons des commentaires que j’inaugure en disant :

— Elle s’investit dans ce qu’elle fait.
— Oui, elle a le goût du travail bien fait.
— Elle n’hésite pas à mettre la main à la pâte.
— Elle sait prendre les moyens pour arriver à son but.
— Elle met du cœur à l’ouvrage.
— Ce n’est pas une feignante. Ça y va à la manœuvre.

Quand nous arrivons à un cliché qui la montre avec un doigt enfoncé dans le con, Gwendoline intervient :

— On peut même dire que je m’efforce à aller au fond des choses, en ...

... m’ouvrant le plus largement possible, sans esprit de censure.

Tout le monde rit de bon cœur. Les autres séries défilent. Une fois la dernière classée, Dominique de conclure :

— À voir ces photos, on a du mal à imaginer que la veille encore tu étais pucelle. Tu as des dons.
— Peut être. Mais j’ai eu un bon professeur et un non moins bon modèle. Si classions maintenant les photos du susdit modèle, répond Gwendoline.

Après cette première séance, j’ai la queue raide comme une batte de base-ball. Malgré cela, je me lance dans la réalisation de l’album de Dominique. Je retire les photos des pochettes sur les planches et les passe à Dominique qui les range. Lorsque nous arrivons à la série en extérieur, Gwendoline s’ébaubit à nouveau de voir sa sœur se caressant avec des promeneurs à quelques pas d’elle. Quand toutes les photos ont intégré l’album, Gwendoline rappelle :

— Tu as parlé de diapos. Ce serait bien de voir maintenant la version grand format.
— Il est un peu tard pour se lancer dans une projection et les photos que tu as ramenées aujourd’hui ne sont pas sur chariot.
— Alors ! Regardons seulement celles de Dominique, insiste Gwendoline.
— Pas longtemps. Juste quelques-unes, lui soutient l’intéressée.

Je capitule et installe mon projecteur et mon écran. Je les rejoins sur le canapé, où elles m’ont laissé une place entre elle deux. Nous regardons défiler les photos. Sur écran en un mètre sur deux, c’est vraiment saisissant. On en prend plein les yeux. Nous ...