7 juin-14 juin
Datte: 16/05/2018,
Catégories:
fh,
ffh,
jeunes,
alliance,
Collègues / Travail
vacances,
plage,
noculotte,
photofilm,
Masturbation
Oral
69,
fgode,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe
... jusqu’à ce que son sexe entre en contact avec ma bouche. Pendant ce temps, elle s’empare de mon sexe et le gobe. Sa main accompagne le mouvement de ses lèvres. Sa langue ne reste pas inactive. Elle aussi a vite compris comment s’y prendre. Elle me pompe avec conviction. Après un peu plus de cinq minutes, je l’avertis que je ne vais plus tenir longtemps. Elle continue et je finis par me répandre dans sa bouche. Elle avale jusqu’à la dernière goutte tout en continuant son va-et-vient. Avec un pareil traitement, je ne perds pas consistance. Je lui propose de passer à une autre position. Elle accepte bien volontiers. Je la fais mettre à quatre pattes sur le bord du lit. Je m’agenouille derrière elle et écarte ses fesses rebondies. J’approche mon visage de son intimité et commence à lui bouffer la chatte. Elle écarte les genoux et se cambre encore plus pour me faciliter la tâche. Je fais glisser mes mains jusqu’à ses seins pour doucement les caresser. Quand les pointes sont bien durcies, je les fais délicatement rouler entre mes doigts. Progressivement, je les pince et les étire un peu plus énergiquement. Gwendoline, la respiration haletante, me demande de ne pas tirer trop fort. Je la travaille ainsi longtemps. Je commence à avoir des crampes dans la langue. Je me lève, pointe ma bite vers son con luisant et m’y enfonce avec délice d’un seul mouvement, mais sans brutalité. Je commence à la pistonner. Elle vient au-devant de ce pieu qui la fouille, nous sommes bien ...
... synchronisés. Après quelques temps de chevauchée, je sens des spasmes qui agitent son corps, avant que le mouvement qui anime sa croupe ne se ralentisse et cesse. Je me retire et me branle jusqu’à ce que je lâche quelques jets blanchâtres sur ses fesses. Je lui demande de ne pas bouger, le temps de prendre quelques photos et terminer ma pellicule. Nous retournons procéder à quelques ablutions rapides. Gwendoline va s’allonger, toujours nue, sur le lit où je la rejoins. Elle vient se blottir contre moi.
— Je me sens toute chose après…
Elle laisse sa phrase en suspend.
— Avoir baisé.
Elle approuve d’un signe de tête. J’enchaîne :
— Et dire qu’il y a vingt-quatre heures encore, tu étais pucelle. Tu y mets autant d’ardeur que pour l’histoire. Cela t’inspire.
— Pour la… la baise (elle rougit de manière charmante en prononçant le mot), c’est le ménage qui m’a donné de l’inspiration.
— Le quoi ?
— Le ménage. J’ai fait un peu de ménage cet après-midi.
— Ha ! Le ménage t’inspire. Moi, il ne me fait pas du tout cet effet-là. Je te remercie beaucoup de vouloir prendre soin de mon antre. Je devrais te dire que c’est gentil, mais que ce n’est pas la peine. Etant données les conséquences, je ne peux que t’encourager à t’y adonner souvent.
Elle hésite un peu avant de reprendre :
— En allant me rafraîchir dans la salle de bains, j’ai vu qu’il y avait encore des éclats de verre. Hier soir, j’avais seulement passé les balais pour te laisser te reposer. J’ai donc voulu faire les ...