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Drôle de hasard / n°2 : une attente enivrante
Datte: 19/06/2021, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Bplume, Source: Hds
... lendemain. Comment allais je vivre une pénétration ? Pourrais je m'y laisser aller finalement ? A ces pensées, la chaleur accompagnant les contractions de mon périnée et de mon anus me disait que oui. Mais peut être n'était ce pas le jeu qu'il me propose ? Je songeais que trop à ce qu'il m'avait déjà fait découvrir. Notre troisième rencontre avait été l'occasion de partager le plaisir d'une fellation simultanée. Il m'avait à nouveau reçu chez lui et conduit dans sa chambre. A sa demande, allongé sur le dos, je m'étais positionné sur son corps, en position de 69. Poser mon torse sur le haut de son ventre avait été un passage fabuleux par la rencontre de nos corps si masculins. Son pubis était fin et sur une fine mèche de poils remontant jusqu'à son nombril reposait son sexe épais, déjà en érection. J'offrais alors à sa vue ma croupe et mon propre pénis. Tout en glissant un peu sur son buste, je descendis à la rencontre de son merveilleux gland, rond, gros et doux, et j'abaissai mes fesses vers son visage. Mes coudes de chaque coté de son ventre, ma main droite vint tenir son pénis de mon pouce sous sa hampe et de mon index encerclant sa base. Ma main gauche, elle, glissait à la rencontre de ses généreuses testicules qu'elle prit en coupe pour les flatter doucement tout en sentant leur poids. Relevant un peu son membre, je pu y déposer un premier baiser. L'angle de prise en bouche de son beau gland était différent des fois précédentes. J'ai apprécié également d'avoir la ...
... langue sur une surface plus hampe au lieu de sentir le point de jointure des deux renflements de la couronne . Lui s'occupait en même temps de mon sexe, bien dur aussi, le faisant trembler en le caressant de la pointe de sa langue. Pendant ce temps, ses mains me caressaient sans relâche les fesses, les effleurant, les malaxant ou bien glissant les doigts doucement dans le sillon des deux globes, jusqu'à frôler mon orifice sensible. Chacun de ses frôlements me faisait prendre une grande inhalation, malgré sa verge en bouche, tant j'aimais ce contact électrisant. Nous étions installés sur son lit, face à une grande armoire avec miroir. J'avais une vue directe sur le miroir et sur l'image qu'il renvoyait de la scène. Je me voyais prendre en bouche son sexe luisant de ma salive. C'était une vue exceptionnelle ! Je me sentais à la fois acteur et spectateur. Je ressentais ce que je voyais et cela renforçait mes sensations. Je me sentais fort, maître de son plaisir et fier de le voir en si bonne érection pour moi. J'avais l'impression de dominer la situation, mais je me doutais aussi qu'il n'avait pas choisi le lieu, ni la position par hasard. Il voulait que je me confronte à mon image. Il me demanda d'ailleurs : « Tu aimes ce que tu vois ? ». Je n’eus pas d'autre possibilité que de ressortir son gland de ma bouche pour lui murmurer un « oui », plus proche d'un souffle que d'un mot, avant de replonger son sexe en bouche, les yeux rivés sur la glace. « Décris moi tes sensations ! » me ...