1. Ma patronne quand je travaillais dans l'habillement (4)


    Datte: 16/05/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: sifeminin, Source: Xstory

    ... amie ait pris son pied, Patricia n’avait pas cessé de lui butiner la friandise. De mon côté, je me permettais de maintenant venir caresser la poitrine de Sophie, la douceur de sa peau, la fermeté de ses seins et surtout leur sensibilité ; donnaient envie de ne plus les quitter. Mais à mon grand désespoir, Patricia s’est redressée et a carrément pris ma place, pour ce qui est du baiser et des caresses mammaires ; je redevenais spectateur. Vu que la plastique des deux femmes n’avait rien à s’envier, je suis venu me coller dans le dos de Patricia puis je me suis mis à caresser les deux femmes, à tour de rôle.
    
    Maintenant, nos corps étaient en train de devenir moites, nous nous collions les uns aux autres quand je picorais le cou de Patricia, il y avait un petit goût salé.
    
    Avec une telle position, mon sexe n’est pas resté longtemps tout mou, il a rapidement repris vigueur et je me suis permis de le caler entre les fesses de ma patronne. Il n’y avait pas besoin de mettre de salive, la fine pellicule de transpiration sur le corps servait de lubrifiant, cela me permettait de donner des coups de reins dans le vide dans le dos de ma patronne. Je ne sais pas ce qui m’a pris, mais cela a été plus fort que moi, il a fallu que je me glisse dans l’intimité de ma patronne. Vous vous doutez bien que je ne suis pas passé par l’issue de secours, mais compte tenu de l’état de forme de mon sexe, je pouvais quand même la pénétrer qu’un peu côté vagin. Je ne sais pas ce qui m’excitait le ...
    ... plus, était-ce de m’occuper de ma patronne, de savoir que nous étions trois en train de nous faire du bien, ou peut-être le fait d’imaginer ma patronne prise en sandwich par un homme et une femme.
    
    Toujours est-il que nous étions tous les trois à prendre du plaisir, Patricia était en train de finir de me dévergonder. Pour ce qui est de Sophie, je pense qu’il n’y avait pas besoin de la pousser pour cela, elle aimait le sexe et n’avait pas l’air de se priver de sauter sur les occasions qui se présentaient à elle.
    
    Même si je n’arrivais qu’à rentrer qu’un tiers et au grand maximum la moitié de mon sexe dans ma patronne, elle avait l’air de beaucoup apprécier. Avec la chevelure de Patricia, je ne pouvais pas vraiment voir sa partenaire sexuelle, du coup, je me permettais d’admirer l’agencement du séjour de l’appartement de Sophie. Il y avait un magnifique tableau de grande dimension qui représentait une femme nue, à y regarder de plus près, je n’avais pas de doute, c’était Sophie qui avait servi de modèle. Je réalisai que ce tableau était quand même un peu obscène, en ce sens où le modèle avait quand même deux doigts dans le minou et un regard provocateur. Pour me remettre à ce que j’étais en train de faire, Patricia a saisi mon sexe par-devant alors qu’il arrivait par derrière et elle s’est fait du bien avec. À ma grande surprise, elle s’est mise à jouir comme ça, cela laissait augurer de son état d’excitation.
    
    J’avais quand même l’impression qu’elle voulait faire ça le plus ...
«1...3456»