1. Ma patronne quand je travaillais dans l'habillement (4)


    Datte: 16/05/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: sifeminin, Source: Xstory

    Salut, c’est votre folle de lycra.
    
    Nous venons d’arriver tous les trois chez Sophie et cette dernière venait de me déshabiller, j’étais toute belle et tout excitée. Patricia s’est chargée de dévêtir Sophie avec beaucoup de douceur, je retrouvais ce corps que je n’avais cessé d’admirer ce matin. Ensuite, Sophie fit de même avec sa nouvelle amie, c’était vraiment un plaisir de voir ces deux femmes dénudées avec une plastique irréprochable. C’était amusant à voir, car toutes les deux avaient une poitrine en forme de poire avec les pointes érigées, leur soutien-gorge les mettait d’autant plus en valeur. Sophie avait trouvé le moyen de remettre une culotte depuis ce matin, en y regardant de plus près, on pouvait constater aisément que l’entrejambe des deux femmes était bien mouillé. J’étais vraiment impatient de passer aux choses sérieuses, mais en fait, les deux femmes se sont mises à se caresser mutuellement.
    
    C’était vraiment un plaisir pour les yeux que de les voir se faire du bien toutes les deux, elles étaient désormais en train de s’embrasser.
    
    Elles étaient face à face, je suis sûr qu’elles avaient fait en sorte à ce que leurs poitrines soient collées l’une à l’autre. Voir deux femmes en train de s’aimer était vraiment quelque chose de bien plus beau, que de voir un couple hétéro. Elles étaient toutes les deux à peu près de la même taille, j’aurais vraiment voulu entrer dans la danse, mais en même temps, je préférais les regarder s’aimer. Finalement, je me suis ...
    ... assis dans le canapé et je me suis mis à me caresser le sexe en les regardant. Au bout de cinq bonnes minutes, les deux femmes se sont offert une pause, et elles se sont approchées de moi. Là, elles se sont caressées toutes les deux le vagin, puis elles m’ont donné à sucer leurs doigts, j’ai adoré. Patricia s’est approchée de moi, tout près de moi, m’a écarté les jambes tout en restant debout face à moi. Sophie s’est glissée derrière elle, pour la débarrasser de sa culotte poisseuse, elles n’arrêtaient pas de se coller l’une à l’autre.
    
    Maintenant, j’avais une vue imprenable sur la toison luisante de cyprine de Patricia.
    
    Ma patronne m’a fermement saisi la tête par les côtes, puis m’a complètement plaqué mon visage contre son entrejambe.
    
    — Maintenant, tu vas me brouter le minou comme un fou, car je sais que ce soir, tu vas repartir dormir chez ta femme.
    
    Pendant qu’elle était en train de me parler, je ne pouvais plus respirer, tellement elle appuyait sur mon visage contre son minou. Le traitement qu’elle m’infligeait n’était pas de tout repos, par contre, c’était vraiment un plaisir que de s’enivrer de ses odeurs et de ce goût si excitant. Ma langue se déchaînait en essayant de récupérer le plus de nectar possible. Elle était tellement chaude qu’elle n’a pas été bien longue à prendre son pied. J’étais assez fier de moi, car je me disais que cette rapidité était aussi peut-être due à mon efficacité linguale. Patricia s’est mise à crier assez rapidement, mais Sophie est ...
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