Premiers pas d’un soumis (2)
Datte: 17/06/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: GregorSoumis, Source: Hds
... l'addition. Heureusement je portais un boxer et mon érection n'était pas visible.
En quittant le café je lui dis que de l'avoir invitée pourrait peut-être lui faire pardonner mon retard.
Cela la fit rire, « certainement pas mais c'est un bon début. »
A peine arrivés sur les quais de Seine, elle reprit :
« Bon alors ta dernière branlette ? »
Mes joues rougirent en un instant. Moi qui étais habituellement très réservé sur ces questions, je me sentais presque incapable d’en parler. Aux prix d’un grand effort, je finis par articuler tout bas :
« Heuuu hier soir, après notre discussion.
- ça ne m'étonne pas espèce de petit pervers. Tu as effectivement un grand besoin d’être dressé. Tu es en érection là ?
- heuu oui Madame, fis je mort de honte.
- Eh bien, y'a du boulot ! Il va te falloir une maîtresse patiente ! Tu as souvent des érections en public comme ça ?
- Oui assez, il ne me faut pas grand-chose pour m'exciter.
- Ca ne m'étonne pas pour un cas comme toi, tu ne dois pas vraiment en imposer aux femmes ! »
La discussion continua encore un long moment, elle s'amusait à me poser des questions plus qu'indiscrètes sur ma sexualité depuis mon enfance, mes pratiques habituelles, me soulignant toujours mon infériorité aux femmes.
La conversation finit par arriver à son terme. Elle soupira et repris :
« Eh bien, t'es un sacré cas, je ne sais pas si je vais avoir suffisamment de patience pour un soumis comme toi. Je dois réfléchir, je te ...
... donnerai ma réponse demain. Maintenant j'y vais, embrasse-moi les pieds ! »
Je fus pris de cours et restais planté debout come un idiot.
« Vite, sinon j'arrête tout. »
Sans réfléchir je m'agenouillais devant elle et lui embrassais rapidement les deux pieds, de peur qu'on nous voit, ce qui fut le cas de deux trois badauds alentours. Je me relevais très vite.
« Même pour ça t'es nul. Bon allez j'y vais c'est un spectacle pitoyable. Ah oui j'oubliais, bien sûr, interdiction de te toucher jusqu'à mon appel. Fais de beaux rêves »
Elle partit sans me laisser le temps de la saluer d’avantage.
De mon côté, je déguerpis sans demander mon reste, trop honteux de ce que je venais de faire en public.
J'étais complétement retourné, mon cerveau tournait à cent à l'heure, j'étais excité à mort et mon érection ne m'avait pas quitté depuis notre départ du café, à tel point que ça en devenait douloureux.
Un peu perdu, je me demandais si je n'avais pas fait une énorme connerie en racontant autant de choses intimes à une femme que je ne connaissais que depuis deux heures. Je marchais un long moment dans la rue en essayant de calmer mon excitation, sans y parvenir.
Une fois chez moi, je me mettais tout de suite au lit, incapable de penser à quoi que ce soit d’autres que Madame Gina. Obsédé par elle, il me fallut des heures pour trouver le sommeil.
Après une nuit difficile je passais une journée encore plus exécrable. J'étais de plus en plus convaincu que j’en avais beaucoup ...