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Accueil de déshérités 3
Datte: 17/06/2021, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Accent, Source: Hds
... Elle aurait peur d’être forcée? Les habitués arrivent peu à peu, avec une désinvolture affichée. Sortants et retardataires se croisent, ils jouent l’indifférence. Deux heures plus tard, Robert et Lili quittent les lieux. Robert la raccompagne jusqu’à ce renfoncement sombre. Il tente un bisou sur la joue. Lili lui tend la main. Elle le tient à l’écart, on ne pourra pas l’accuser de flirter. Elle s’éloigne. Pourtant elle ne sait pas que je l’observe. Pendant une huitaine, j’assiste à la répétition de la même scène. Lili est sage. Trop sage dans la rue. Avec une barbe de dix jours, en bleu de travail et une casquette vissée sur la tête, je visite le local de la soupe et du vin. Ce soir, pour les gardiens du temple heureux de voir arriver une recrue, je m’appelle Maurice ou Momo pour les amis. Paul ne m’a pas reconnu, a oublié de me demander des papiers. A la douche, préside une inconnue. Je traîne sous l’eau, je jette un œil du côté dames: il n’y a personne sous la douche. La porte de séparation entre cette douche et le quartier des femmes est entrouverte. Je fais le curieux. La salle est symétrique à celle des hommes, c’est un couloir peu large et j’y remarque les mêmes box séparés par des planches. Lili est debout dos au mur et surveille peu de monde. Je ne dénombre que deux dames actives, aux fesses voilées qui débordent de la limite des bas flancs de séparations. Quelqu’un frappe sur mon épaule : - C’est toi le nouveau ? Tu te trompes de porte. - Aoh ! ...
... Pardon - Comment t’appelles-tu ? - Maurice, Momo pour les amis. - Eh bien, Momo, tu vas prendre l’autre porte. D’accord ? Comme Paul, Robert ne me reconnaît pas. Je suis la consigne et je passe chez les hommes. Face au mur ils sont cinq. Deux sont occupés, collés à la paroi. Trois patientent et entretiennent leur érection, ils se masturbent et regardent le plafond. - Ho, il n’y a personne de l’autre côté ce soir ? Grogne l’un des trois. Je traverse discrètement dans leur dos, j’atteins la porte vitrée du fond : elle s’ouvre et je me retrouve dans un passage de deux mètres sur un. Une porte vitrée symétriquement placée donne sur la salle des femmes. Une tête dépasse des séparations, plus loin une bonne grosse au ventre volumineux retire sa culotte et marche à reculons vers le trou. Elle se tient aux planches. J’entends des protestations. Robert et Lili discutent, l’air ennuyé et tout à coup se dirigent vers les box. Lili occupe le dernier, limité à sa droite mais sans cache de mon côté. Pourvu qu’elle ne se tourne pas vers moi. J’essaie les clenches des deux portes situées dans mon dos : elles sont fermées à clé. Je ne laisse dépasser qu’un œil pour observer ma femme. Toujours habillée, elle prend en main ce qui dépasse d’une verge. Elle promène délicatement deux doigts sur le dos du membre à plusieurs reprises. L’engin prend de l’importance. Elle porte sa main à hauteur de sa bouche, y crache de la salive et ressaisit la queue des deux mains, la sèche, tient la ...