1. Une soirée surprenante


    Datte: 16/05/2018, Catégories: fh, vengeance, jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Masturbation couple, Auteur: Broutchoux, Source: Revebebe

    ... bouillant.
    
    — Mais dis donc, tu bandes comme un âne ! C’est tout raide. Tu sais, ce soir tu étais tellement occupé à reluquer Guenièvre que tu ne t’es aperçu de rien.
    
    J’ai un choc. Cette phrase me perturbe, elle m’inquiète. Qu’aurais-je dû percevoir ? Du coup, je commence à débander.
    
    — Alors mon chou, on se ramollit ? Pas question : ce soir, je veux un mari qui me fait jouir. Je suis trop excitée depuis plusieurs heures.
    
    Disant cela, elle me masse le sexe avec son fessier, glisse la douchette entre ses jambes pour arroser en même temps son minou et mes roubignoles. C’est efficace : sous cette douce torture, je me redresse immédiatement.
    
    — C’est bien, mon beau. Si tu bandes bien, je vais tout te raconter, petit voyeur.
    
    Elle me parle avec une voix sensuelle, pas vraiment douce, avec des accents d’appel au sexe, plutôt vicieuse. Dans le même temps, le massage de ma queue entre ses fesses continue. Comment ne pas bander ?
    
    — Tu vois, pendant que tu admirais le cul de la reine Guenièvre, ce petit cochon de Vladis me faisait discrètement du pied sous la table. Comme je n’osais pas bouger et que tu venais de plonger une fois de plus ton regard dans le décolleté de cette exhibitionniste, je l’ai laissé faire.
    
    Elle arrête de parler, dirige le jet de la douche directement vers son sexe, descend son autre main vers son clitoris. Elle soupire, m’écrase encore plus contre la vitre de la douche. Mon sexe est comprimé entre ses fesses qu’elle monte et descend avec ...
    ... de moins en moins de contrôle.
    
    — Ouh, c’est bon… J’aime sentir ton sexe chaud entre mes fesses. J’ai beaucoup aimé aussi quand Guenièvre est partie chercher le dessert et que l’orteil de Vladis se frottait contre ma culotte sous la table ; ça m’a rendue folle, je n’arrivais pas à rester en place sur ma chaise. La jalousie de ton regard sur les fesses de l’autre, et son mari qui me branle avec un sourire provocant. Et toi qui ne remarques rien, qui ne voit rien du plaisir que me donne ce cochon.
    
    J’ai un choc !
    
    Elle jouit contre moi, tremble tellement que ses fesses me font presque jouir. Je dois la retenir pour qu’elle ne tombe pas, ses jambes ne la tiennent plus. Un long feulement sort du plus profond de son être. Après quelques secondes d’une tension énorme, bouche ouverte, mais silencieuse à présent, elle s’effondre presque. Je la tiens contre moi ; sa tête part en arrière et se pose sur mon épaule. Elle est toute flasque et reprend petit à petit sa respiration. Après de longues secondes, elle se redresse, se retourne et m’embrasse tendrement.
    
    — Bonne nuit, mon gentil mari, voyeur et naïf.
    
    Je n’ai pas joui et je bande à en avoir mal.
    
    — Tu ne peux pas me laisser comme ça et faire ta gamine allumeuse… Fais-moi jouir avec tes mains, tes seins, ta bouche… Fais comme tu veux, mais fais-moi jouir.
    — Pas question ! Branle-toi en pensant au cul de cette pouffiasse, puisque tu l’admires tant.
    
    La garce, elle me raconte s’être fait branler par ce pervers qui l’a ...