1. Une soirée surprenante


    Datte: 16/05/2018, Catégories: fh, vengeance, jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Masturbation couple, Auteur: Broutchoux, Source: Revebebe

    ... roulé une pelle mémorable. Voilà, c’est son style direct : franc, même si cela ne fait pas toujours plaisir. J’en suis tombé raide amoureux, dans tous les sens du terme.
    
    — Hé ! Tu es où, là ? Tu réponds ?
    
    Est-ce que c’est la voix de Sally ou la main de Guenièvre sur ma cuisse qui me tire de mes pensées ?
    
    — Ah oui, excusez-moi, j’étais ailleurs. De quoi vous parliez ?
    — Guenièvre – tu sais, ma femme – disait à Sally, ton épouse, que son frère proposait de conduire les mariés dans sa voiture, une belle américaine, Mustang V8 de 5 litres, tout cuir, et ton épouse te demande ton avis.
    
    Le ton de Vladis est à la fois ferme et courtois ; il me rappelle clairement à l’ordre quant à « sa femme » et « mon épouse ».
    
    — Tu verras, Sally, mon frère est un peu spécial. Il était DJ dans une autre vie, un peu coureur, il a divorcé quatre fois, ou plutôt ses compagnes ont divorcé, mais surtout c’est un pilote hors pair et sa Mustang est une merveille.
    — Puisque mon cher Henry est muet ce soir, je suis d’accord pour la Mustang. En plus, je trouve ça comique, la fille d’Henry et Sally dans la Mustang ! Personne ne me croira au boulot.
    
    La soirée continue autour d’un bon repas. Cette fois c’est Vladis qui place tout le monde. Les maris sont face à face et à côté de leur épouse légitime. Le message est clair : pas de frotti-frotta sous la table, tout doit rentrer dans l’ordre. Pourtant, comme c’est Guenièvre qui fait le service durant toute la soirée et que son mari reste le cul ...
    ... sur sa chaise, j’ai toutes les occasions de profiter du décolleté de madame lorsqu’elle se penche pour remplir mon assiette ou mon verre. Elle a de jolis petits seins avec des tétons clairs, mais pointus, magnifiés par un soutien-gorge champagne quasiment transparent. J’admire aussi son fort joli postérieur qu’elle tortille allègrement dans sa robe droite moulante en s’éloignant vers la cuisine, dans le dos de son homme, mais face à Sally verte de rage qui garde sa contenance. Elle me pince discrètement et violemment la cuisse à chaque fois que mon regard s’égare.
    
    Les mets se succèdent fort agréablement, arrosés de champagne, car Guenièvre « ne supporte que les bulles ». De temps en temps ma Sally – la seule qui ne boit pas d’alcool – se trémousse sur sa chaise, se redresse, puis se détend. Le repas se termine arrosé par une vodka polonaise de renom et un petit café.
    
    Comme j’ai un peu trop bu et que je roule toute la semaine, c’est Sally qui prend le volant. Sur la route du retour, elle est silencieuse, mais pas inactive ; elle reprend possession de son homme. Sa main gauche sur le volant et la droite qui me caresse la cuisse et remonte dangereusement de plus en plus haut. En réponse, ma main se glisse sur le haut de sa cuisse, à la limite de sa jupe droite, remontée légèrement pour faciliter la conduite. Je la caresse doucement et remonte à la lisière de son bas rouge opaque autofixant. Il y a une tension érotique retenue entre nous.
    
    Une fois devant chez nous, avec ...
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