1. Colocataires


    Datte: 15/06/2021, Catégories: fh, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, init, coupfoudr, Auteur: Passiflore, Source: Revebebe

    ... accident peu banal au foyer m’obligea cet après-midi à retourner chercher dans ma chambre un jeu de raquettes de ping-pong. À côté de ma vieille Peugeot, un coupé sport tout neuf stationnait devant la porte. J’entrai sans clé : une discussion bruissait au fond du couloir sombre qu’un rai de lumière éclairait faiblement. Il y avait la voix de Cathy, une voix d’homme lui répondait. Étrange, c’était son règlement qui interdisait les visites d’étrangers dans l’appartement.
    
    — Oui, j’ai failli réussir hier soir. Si tu ne m’avais pas appelé au téléphone, je gagnais mon pari.
    — Tu te vantes. Bon allez, prends ce que tu n’as pas réussi à faire hier.
    
    À pas de loup, j’entre dans ma chambre, prends les raquettes. Je ressors
    
    — Alain, va doucement, ne pousse pas aussi fort, j’ai failli m’étouffer
    
    Curieux, je vais vers la cave. De trois-quarts, un homme, le danseur de samedi, se tient devant Cathy agenouillée, tête penchée vers le bas-ventre de son voisin. Alain a posé ses deux mains dans les cheveux de Cathy et imprime à sa tête un mouvement d’aller-retour
    
    — Suce ma poule. Fais un effort, avale mieux.
    — C’est facile à dire. Je commence à avoir mal aux mâchoires. Tu as du mal à cracher aujourd’hui. Tu es encore une fois allé te vider chez Charlotte ?
    — Ne me reproche rien. Tu étais sensée t’envoyer ton colocataire. N’oublie pas que si tu ne te l’es pas fait samedi, tu auras perdu ton pari et tu nous devras deux bouteilles de champagne.
    — Ne t’inquiète pas. Nous étions ...
    ... déjà nus quand tu nous as interrompus. Ce soir je le dépucelle. C’est toi qui paieras le champagne.
    
    Il la relève, l’assied sur la machine à laver, se penche, envoie les jambes par-dessus ses épaules et arrache des petits cris de plaisir. Je ne vois pas, les bruits mouillés me disent qu’il lèche ou suce la fente de Cathy. Il se redresse, laisse tomber son pantalon sur les chevilles, s’avance entre les cuisses écartées et pénètre la chatte. Cathy ronronne. Alain envoie de grands coups de reins, accroché des deux mains aux fesses de Cathy. Ça dure, je me sens indiscret. Il la fait descendre, la tourne vers le lave-linge, et jupe relevée l’attaque par derrière.
    
    — Ah ! Non, tu te trompes de trou. J’ai pas envie aujourd’hui. Oui, devant. Mais vas-y, j’ai envie de jouir.
    
    Il s’anime, s’agite dans son dos, pousse sur ses jambes, force l’allure, et finalement s’immobilise en criant.
    
    — Ça y est, je pars, je pars.
    
    Il faudrait savoir ce qu’il veut, cloué, rivé aux fesses de Cathy à crier qu’il part ! Peut-être est-il temps que je m’en aille sans être remarqué. Je rejoins le foyer. Je sais à quoi correspond la nouvelle attitude de Cathy. Elle a parié qu’elle me dépucellerait : je ne suis qu’un jouet pour elle. Je pourrais me laisser faire et prendre mon plaisir. Je sais qu’elle ne fait pas les choses à moitié. Je viens de la voir à l’œuvre, c’est une sacrée gaillarde, une sportive, un arrache moyeu. Ce qui me gêne, c’est sa ruse, son prétendu dévouement. Mon pucelage contre ...
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