1. Colocataires


    Datte: 15/06/2021, Catégories: fh, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, init, coupfoudr, Auteur: Passiflore, Source: Revebebe

    Je cherchais un logement, Cathy cherchait une colocataire. Nous exercions le même métier. Faute d’autre candidature, la demoiselle accepta de laisser une chambre sobrement meublée à ma disposition dans ce rez-de-chaussée assez vaste. Nous pourrions partager un séjour avec kitchenette, les toilettes, une salle de bain avec douche, et une cave appréciable avec son lave linge et des fils pour le séchage.
    
    Je venais de loin et ne retournerai chez les miens qu’aux vacances. Cathy au contraire retrouvait sa famille du vendredi soir au lundi matin. En semaine je prendrai mes repas de midi dans une cantine proche, le week-end je ferai seul mes premiers pas de cuisinier, réservant le casse-croûte aux rapides repas du soir. Enfin, j’avais l’habitude d’utiliser ma salle de classe pour les corrections et préparations.
    
    Ainsi, au bout de trois semaines de colocation, n’avions-nous échangé que des salutations rapides et quelques banalités sans intérêt dans le couloir où nous nous croisions. Cathy ne ressentait aucune attirance apparemment. Je ne voyais aucune raison de lui faire savoir que je trouvais son corps joliment roulé et tentant dans ses jeans moulants où dansaient deux fesses rondes à souhait et animées d’un mouvement envoûtant. J’appréciais en silence.
    
    Heureusement, le mercredi et le samedi après-midi des collègues m’avaient entraîné à encadrer les ados du foyer des jeunes. Christian – le responsable –, Julien et Mathilde m’avaient accueilli à bras ouverts. Le contact ...
    ... avait été sympathique et nous formions une équipe unie. Ce samedi soir, Christian et sa femme Thérèse, Julien et sa fiancée Louise avaient décidé d’aller danser et nous avaient invités, Mathilde et moi, à les accompagner. Les deux couples occupaient une voiture, je transportais Mathilde chargée de me conduire à bon port dans une région que je connaissais peu.
    
    Mathilde avait soigné sa tenue, taille bien prise dans une robe à fleurs très fraîche, cheveux tirés comme une danseuse, mettant en valeur un cou égayé par quelques accroche-cœurs, talons moyens pour mettre en relief une croupe qui faisait joyeusement valser les fleurs du tissu. La voix était douce, le sourire amusé. Et surtout, le visage était des plus plaisants. Je me trouvais chanceux d’avoir un tel guide. Par la force des choses, mon guide fut ma première cavalière et, nos pas immédiatement en harmonie, nous avons décidé de prolonger l’expérience.
    
    Thérèse et Louise, par politesse, me firent l’amitié de m’inviter, mais s’empressèrent de retourner à leur homme. Je sentais comme un complot destiné à me jeter dans les bras de Mathilde, la célibataire. L’idée ne me serait pas venue de m’en plaindre, tant je m’y plaisais. J’appris qu’elle était mon aînée de deux ans, qu’elle avait hérité d’une maison où elle rêvait de fonder un foyer. En même temps, la pression de son corps contre le mien me disait que je pourrais être l’heureux élu. Ces deux seins fermes aux pointes dressées, cette taille fine mais souple, ce jeu de ...
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