1. Retour en Canfre : les familles ennemies


    Datte: 14/06/2021, Catégories: fh, ff, fhh, fgode, pénétratio, Partouze / Groupe fdanus, fsodo, jouet, init, historique, Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe

    ... amoureux. Si je lui demande, elle me confiera les clefs.
    — Mais la veuve, risque de…
    — C’est un petit pavillon indépendant au fond du parc, avec entrée particulière. Je t’y attendrai après vêpres.
    
    Elle lui explique comment s’y rendre et sur un dernier baiser ils s’empressent de rejoindre le reste de la troupe.
    
    Lorsque les jeunes mariés se retrouvent seuls, Dominique fine mouche :
    
    — Je crois que nous avons fait des émules.
    — Oui j’ai vu, ma sœur et ton frère se sont regardés avec moult intérêts.
    — Certes, mais pas seulement. N’as-tu point remarqué Serge et Douceline.
    — Non, rien de spécial. Tu te fais des illusions.
    — Je ne crois pas. Tandis que nous venions ici, ils ont échangé quelques mots sur le port tandis que tous étaient accaparés par l’empoignade des aïeux. De plus ils se sont attardés quand nous sommes descendus nous rafraîchir. Ils sont arrivés plus longtemps après nous qu’il n’était naturel et ma chère cousine était un peu trop empourprée.
    — Maintenant que tu le dis, cela me revient, je m’étais demandé ce qui les retenait.
    — M’est avis que leur relation ne date pas d’aujourd’hui, ni même d’hier. Je me demande jusqu’où ils sont allés tous les deux.
    — Tu crois qu’ils ont… comme nous.
    — Douceline est très réservée et même pudique, mais l’amour peut métamorphoser et transformer une enfant de Marie en créature luxurieuse.
    — Je sais mon aimée, je sais.
    — Oh toi !
    
    Il éteint son indignation d’un baiser.
    
    En sortant de chez les Herpin, Douceline ...
    ... s’arrange pour passer avec ses cousins du côté de la maison de son amie Ludivine. Elle les abandonne alors pour lui rendre visite. Ce qu’elle n’avait pas prévu, c’est que Donatienne manifesterait le désir de l’accompagner, pour co-annoncer la nouvelle de l’union de son frère avec une Taimongu. Cela ne l’arrange pas. La chance est avec elle, ils croisent peu avant d’arriver, une amie de sa cousine, qui engage la conversation. Elle en profite pour s’éclipser.
    
    Après lui avoir annoncé et commenté la nouvelle du mariage, elle bavarde longuement avec Ludivine, tournant autour du pot, n’osant au pied du mur formuler sa demande. C’est son amie finissant par trouver singulière son attitude qui finit par demander :
    
    — Que t’arrive-t-il ? Tu n’es pas dans ton assiette.
    — Euh… Eh bien… J’ai un service à te demander.
    — Tu sais que tu peux compter sur moi comme je sais que je peux compter sur toi. Tu me l’as prouvé à plusieurs reprises. Je suis heureuse de pouvoir t’être utile à mon tour.
    
    En rosissant, Douceline se décide à demander presque en murmurant :
    
    — Pourrais-je avoir usage du pavillon ce soir.
    
    Ludivine regarde son amie intriguée.
    
    — Bien sûr !
    — Merci. Merci beaucoup.
    
    Ludivine va chercher un trousseau dans la cachette où elle le resserre et le confie à Douceline. Connaissant la pudeur et la chasteté de son amie, elle ne comprend point la finalité de cette requête et ne peut s’empêcher de demander :
    
    — Quel usage veux-tu en faire ?
    
    C’est la question que ...
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