1. Dégradation d'une bourgeoise


    Datte: 14/06/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Cynthia127, Source: Hds

    ... bouche, mon sexe était trempé et que j’avais désiré inconsciemment que cet homme, pourtant l’amant de ma fille, me fasse l’amour.
    
    Je reçus une nouvelle gifle.
    
    - On dit « Oui Monsieur ».
    
    - Oui Monsieur
    
    - A ce soir sale pute.
    
    Dès qu’il fut parti, je rassemblai mes esprits. Était-il possible que ce charmant Gérard se comporte ainsi. Bon, me dis-je, c’est un coup de sang ; il devait être sous l’influence d’une drogue. En tous cas pas question de le voir ce soir.
    
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    Je passai ma journée assez énervée, me demandant s’il allait oser revenir le soir. Vers 20h, mon énervement était intense et lorsque la sonnette retentit, je faillis défaillir. Je fis le plus grand silence et ne répondis pas. Trois fois la sonnette insista, puis le silence se fit. J’en profitai pour rejoindre ma chambre et prendre un livre pour me détendre. Quand je revins, surprise, Gérard était au milieu du salon.
    
    - Alors salope, on fait la sourde oreille ; avec moi cela ne prend pas ; j’avais les clés de ta fille. Je croyais t’avoir dit de t’habiller sexy ? Ou est ta guêpière ? A poil alors…
    
    - Ecoutez Gérard, cette plaisanterie a assez duré. J’oublierai l’outrage que vous m’avez fait subir ce matin. Rentrez chez vous et laissez-moi, s’il vous plait.
    
    - Apparemment tu n’as rien compris. Tu es désormais ma chose, mon vide-couilles ; tu m’obéiras jusqu’à devenir mon esclave, sans quoi….
    
    - De quoi me menacez- vous ?
    
    - Tu vas voir.
    
    Il me pousse dans ma chambre, ...
    ... m’arrache mes vêtements et quand je suis nue devant lui, sort d’un sac deux paires de menottes qu’il enserre à mes chevilles. Il me jette sur le lit et attaches les menottes aux coins du lit. Couchée sur le ventre, les jambes écartelées par les menottes, je suis totalement incapable de bouger. Gérard sort une caméra du sac, la pose sur un meuble et la met en marche. Après quoi, il dégrafe son pantalon et en tire sa ceinture.
    
    - Vingt coups sur le dos pour avoir oublié la guêpière et vingt coups sur les fesses pour ne pas avoir couper tes poils.
    
    Quarante fois la ceinture s’abattit sur moi. Je criais, je pleurais et cela ne fit qu’augmenter la vigueur de ses coups.
    
    - Par pitié, Gérard, arrêtez et laissez-moi tranquille.
    
    - Ta gueule putain ; tu n’avais qu’à obéir à mes ordres. Ce que tu feras désormais, sinon cette splendide vidéo sera montrée à ta fille et envoyée à toutes tes connaissances. Elles sauront ainsi combien tu es dépravée.
    
    Il détache mes chevilles et attache mes poignets aux montants du lit, cette fois couchée sur le dos.
    
    - Puisque tu n’as pas voulu m’obéir, c’est moi qui te débarrasserai de ces poils inutiles, mais à ma façon…et toujours filmé…
    
    Il sort un briquet de sa poche et met le feu à ma toison. A chaque coup de briquet, quelques poils brûlent dans une odeur de laine consumée. Mon ventre souffre de ces brûlures et il faut certainement 10 minutes pour que mes poils disparaissent.
    
    - Après tu égaliseras avec un rasoir, puis quand ta peau ...