1. Dégradation d'une bourgeoise


    Datte: 14/06/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Cynthia127, Source: Hds

    Mère d’une fille de 19 ans, je me suis mariée très jeune, étant enceinte. Mon mari m’a quitté il y a 8 mois pour, suprême humiliation, vivre avec un homme. Gérante d’une petite société immobilière assez prospère, je vis désormais seule et sans problème financier.
    
    J’ai une fille, Isabelle, jolie brune de 19 ans, à la taille fine et aux seins généreux. Elle fréquente depuis quelques mois un garçon, Gérard, bel athlète de 23 ans.
    
    Ma fille s’est rendue en week-end chez sa grand-mère, j’étais seule à la maison. Nous étions samedi ; j’avais paressé quelques temps dans mon lit avant de prendre une douche. A peine sorti de celle-ci, la sonnette retentit. Je décidai de ne pas y donner suite et continuai à m’habiller. Le carillon retentit à nouveau avec insistance. Je criai : un moment, j’arrive.
    
    J’eus juste le temps d’enfiler un string et de mettre un peignoir.
    
    - Qui est-ce ?
    
    - C’est Gérard, vous pouvez m’ouvrir.
    
    Tout étonnée, je lui ouvris la porte.
    
    - Isabelle n’est pas là ; elle est chez sa grand-mère ; tu ne le savais pas ?
    
    - Si mais c’est pour vous que je viens. Depuis que je fréquente Isabelle, je fantasme sur vous.
    
    - Arrêtes de dire des bêtises ; j’ai près de 40 ans ; tu as Isabelle ; un bien plus joli morceau que moi.
    
    - Isabelle est une petite gourde, tandis que vous vous dégagez une sensualité énorme. S’il vous plait, enlevez votre peignoir.
    
    - Tu es fou ; à quoi penses-tu ?
    
    - Je vous en prie, j’ai envie de vous voir nue.
    
    - Il n’en est ...
    ... pas question.
    
    Sur ce il se lève, viens vers moi et ouvre brutalement mon peignoir, dégageant me seins, dont il faut dire, je suis très fière. Je me lève, outrée, et me rajuste.
    
    Je reçois alors une magistrale gifle.
    
    - Dois-je changer de ton, salope ; j’ai dit « à poil » et plus vite que cela.
    
    Je commençai à paniquer. Il m’agrippa les mains et m’arracha littéralement mon peignoir. Puis il tira mon string. J’étais nue devant l’ami de ma fille. J’essayai en vain de cacher mon sexe et mes seins mais une deuxième gifle me fit chanceler.
    
    Tirant mes cheveux il me fit mettre à genoux, dégrafa sa braguette et sortit son sexe.
    
    - Suce salope et mieux que ta conasse de fille.
    
    Je tentai de résister, refusant d’ouvrir ma bouche ; je me mis à pleurer mais cela ne fit qu’exciter l’homme. Il me força la bouche et je fus obligée de sucer son sexe, long et gros. Une nouvelle gifle m’obligea à m’appliquer et bientôt ce membre devint énorme et vint me frapper le fond de la gorge.
    
    - Vide moi les couilles, salope.
    
    Je fus très vite inondée de son sperme qui coula le long des commissures de ma bouche.
    
    - Pour un début ça va ; je reviens ce soir vers 8h. Je veux voir : d’abord que tu épiles ces horribles poils. Une chatte cela doit être lisse ; ensuite je veux te voir en tenue sexy. Une guêpière ferait bien l’affaire. Si tu n’en as pas, tu as la journée pour t’en acheter une. Compris ?
    
    Sans réfléchir, je répondis : « oui », troublée par le fait que malgré ce viol de ma ...
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