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Astrid et Julia (14)
Datte: 14/06/2021, Catégories: Trash, Auteur: imaxparis, Source: Xstory
... s’adresse à moi : — Vous connaissez ma fille, Julia ? — Oui, je me rappelle la soirée passée chez vous lors de votre pendaison de crémaillère, je l’ai entrevue, dis-je d’un air innocent. Elle rétorque d’un air innocent : « Ah oui, c’est vous l’informaticien qui habite en face ! » Entre la mère et la fille, c’est le bal des hypocrites ! C’est à qui mentira ou feindra le mieux. Je vois même un subreptice regard de connivence entre elles. Ce soir, c’est le dîner de con et c’est le maître de maison et non l’invité qui en est le héros... Pendant le repas, Paul et moi mettons au point les modalités de notre coopération. Je lui fais part du projet que j’envisage pour leur maison. Il me dit qu’il me laisse carte blanche et que je n’ai qu’à lui soumettre les devis des entreprises au fur et à mesure de l’avancement des travaux. Quant au délai, il convient très bien que je ne puisse m’en occuper qu’en dehors de mon job actuel et qu’il n’y a pas de contrainte de ce côté. Je vois « mes femmes jubiler », car nous allons pouvoir nous rencontrer ici sans aucune contrainte. Le café pris, notre hôte reçoit un coup de fil. Il se rend dans une autre pièce pour le prendre. Quelques minutes plus tard, il a un aparté avec sa femme et s’excuse auprès de moi : « Je dois partir, une urgence à traiter. Je crains d’en avoir pour toute la nuit. » Je me lève comme pour les quitter. — Non, non ne partez pas Hervé. Restez encore un peu. Je suis sûr que ma femme et ma fille seront ...
... heureuses de pouvoir discuter avec vous. Elles sont fanas de techniques nouvelles. Ce sont des geekettes ! La voiture de Paul a à peine franchi le portail que mes deux geekettes sautent sur moi et, chacune à tour de rôle, me roule une pelle. En deux temps trois mouvements, nous nous retrouvons, comme Adam et Eve, nus. Inutile de vous dire qu’elles se jettent sur mon sexe comme deux furies. C’est à celle qui l’avalera le mieux. Match nul, je ne peux pas les départager, je bande comme un âne. Je les fais mettre à genoux, côte à côte, leur cul bien relevé. — Alors mes chéries, que diriez-vous d’une bonne sodomie pour finir la soirée ? Pendant que le mari n’est pas là, les souris dansent ! — Oui, mais d’abord, pour nous préparer, enfile-nous la chatte ! dit Astrid. — Oh oui défonce ma petite salope de mère. Je veux la voir jouir sous les assauts de ta bite. Pendant ce temps-là, elle va me bouffer la minette. N’est-ce pas ma petite maman ? — Oh oui, ma chérie, ton petit abricot est tellement goûteux. Oups ! Je viens de lui enfiler ma bite à fond dans son con baveux. Julia se glisse sous le corps de sa mère qui s’empresse de lui brouter le minou. Mes deux femmes gémissent à qui mieux mieux. Quelques aller et retour dans la chatounette d’Astrid et je change de trou. Elle se met à crier comme une malade me demandant de ne pas la ménager. Sa fille lui appuie fortement sur la tête, car elle veut jouir pleinement du gougnottage de sa mère. Je ne peux me contenter de la ...