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Astrid et Julia (14)
Datte: 14/06/2021, Catégories: Trash, Auteur: imaxparis, Source: Xstory
Deux jours plus tard, coup de fil d’Astrid, elle me dit qu’elle me veut. Je lui explique que je ne peux pas, car dans un quart d’heure, j’ai un « conf call » avec un de mes clients. Comme elle voit que j’ai un peu de temps à lui accorder, elle continue la conversation. Elle me dit qu’en discutant avec son mari, ils avaient parlé de moi. Je lui fais part de mon étonnement. Elle me rassure, il n’a pas été question de notre liaison. Comme il sait, depuis la réception chez eux, que je suis informaticien, il lui a demandé de m’inviter à dîner pour que nous puissions discuter de l’équipement domestique de leur maison. Il voudrait des conseils et savoir si je pourrais ; payé au noir ; en assurer la réalisation. Je suis d’autant plus intéressé que, comme je lui explique, ça me permettra de venir chez eux naturellement et je pourrai alors la baiser plus souvent. Elle avait vu elle aussi tout le bénéfice qu’elle pourrait en tirer. Elle est folle de joie et c’est pour ça qu’elle voulait venir me voir pour fêter ça tout de suite en me « pompant le nœud ». Ce sont ses propres termes. Elle me raconte aussi : — Je soupçonne ma fille d’avoir un amant. — Pourquoi dis-tu ça ? Je sens une sueur froide envahir mon visage, se doute-t-elle de quelque chose ? — Ce week-end, elle est partie soi-disant chez une copine. Elle était très élégante et ce n’est pas dans ses habitudes. — Elle a quel âge déjà ? — Un peu plus de dix-huit ans. Tu sais, tu l’as vue lors de la réception chez ...
... moi. — Oui, je m’en souviens un peu, lui répondis-je innocemment (quel hypocrite je fais ! si elle savait.) C’est normal non ? Elle est majeure ! — Oui, mais je m’inquiète pour elle, elle est jeune, je ne voudrais pas qu’elle tombe sur n’importe qui. — Tu lui as posé la question ? — Non, mais je vais le faire. J’attends le moment propice. — Excuse-moi, je dois te laisser, je te rappelle d’ici une heure. Un peu plus d’une heure plus tard, je lui envoie un SMS lui disant qu’elle pouvait venir. En fait, elle accourt ! Je lui ouvre la porte, elle tombe dans mes bras et m’embrasse comme l’affamé de sexe qu’elle est devenue. Si je ne m’étais pas attendu à un tel élan, je serais probablement tombé par terre. — Eh bien ma chérie, quelle fougue ! C’est le fait de savoir que je pourrai te voir chez toi sans nous cacher ? — Oui, serre-moi fort dans tes bras. J’en ai besoin. Ça fait plus de quinze jours qu’on a pas fait l’amour ensemble. — Ah bon ! dis-je faussement innocent. Tu ne m’as pas promis quelque chose tout à l’heure au téléphone. A ces mots, elle se jette à mes pieds, baisse mon froc et mon caleçon et embouche mon sexe avidement. Elle me pompe avec vigueur. Il n’est pas question que je finisse dans sa bouche. Je l’entraîne vers le canapé du salon. Je la couche sur l’accoudoir, soulève sa robe, écarte son string et je m’enfonce en elle sans aucun préliminaire. Ça rentre tout seul, c’est divinement chaud. Elle écarte ses fesses pour que je puisse la ...