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Warda, Salim et moi
Datte: 13/06/2021, Catégories: Anal Inceste / Tabou Auteur: proxxx6, Source: xHamster
... jusqu’au bout de la sodomisation. Elle avait mal et lui demandait invariablement d’arrêter. Et à chaque fois, il arrêtait et restait à l’entrée de l’anus. Pour mon bonheur à moi, qui allait ouvrir le chemin ! J’avais décidé d’y aller franchement. De l’enculer sans tenir compte de la douleur qu’elle pouvait ressentir. Je savais que ma belle Warda aimait vraiment le sexe. Qu’elle était capable de supporter la douleur des premiers instants, pour ensuite tirer le maximum de plaisir que tout acte sexuel pouvait lui apporter. J’étais certain que la sodomisation, passé les premiers moments de douleur (tout comme le dépucelage) allait lui procurer de merveilleuses sensations de plaisir. Je me mis tout de même à enduire son anneau de mouille pour le lubrifier et faciliter l’entrée de mon engin. J’avais un engin légèrement plus long que celui de Salim, mais surtout beaucoup plus gros. Je savais qu’il aurait plus de mal à pénétrer dans le rectum de ma belle. J’enduisis donc l’anus de mouille que j’allais directement puiser dans sa chatte encore dégoulinante et essayait d’y faire pénétrer un doigt, puis deux, puis trois. A chaque fois, elle protestait que je lui faisais mal. Mais je ne tenais aucun compte de ses protestations et continuais imperturbablement à élargir l’entrée avec mes doigts. Quand je jugeais que l’anneau était assez distendu, je positionnais le gland de mon manche en son milieu et entrepris de pousser avec mon bassin pour le faire pénétrer. L’anneau ...
... résista et ne laissa pénétrer le gland que difficilement. Warda cria qu’elle avait vraiment mal et qu’il fallait que j’arrête. Au lieu de ça, je continuais de pousser et fis pénétrer tout le gland et une partie de la hampe. Je sentis l’anneau se distendre au maximum et être sur le point de se déchirer. Je savais que je faisais très mal à ma belle. J’éprouvais un plaisir sadique à continuer. J’aimais l’entendre crier que je lui faisais très mal ; cela accentuait mon excitation et mon plaisir. Je ne tins donc pas compte de ses cris et continuai imperturbablement mon action de démolition de l’anus de ma belle. Je sentais l’anneau qui serrait très fort mon membre et qui tentait de résister. Puis il céda subitement. Warda poussa un énorme cri de douleur qui me fit arrêter le mouvement. J’avais même eu peur que Salim, qui était toujours assis sur le fauteuil à côté et qui suivait en bavant d’excitation la séance de torture que j’appliquais à son épouse, n’intervienne pour que j’arrête. Je regardais de son côté et vis qu’il souriait aux anges, toujours occupé à se caresser le zob. Je repris donc la poussée et fit pénétrer mon manche jusqu’au bout. Mes couilles vinrent cogner contre ses fesses. Je restai un long moment à l’intérieur de son rectum sans bouger, si ce n’était de tous petits mouvements circulaires au fond de son cul, pour lui faire sentir très fort la présence du monstre. Je me dis qu’il était maintenant temps de lui faire aimer la sodomisation. J’étais déjà à ...