Warda, Salim et moi
Datte: 13/06/2021,
Catégories:
Anal
Inceste / Tabou
Auteur: proxxx6, Source: xHamster
J’arrivais chez Warda et Salim en début d’après-midi par une belle journée printanière. Ce fut Salim qui m’ouvrit la porte. Il me lança un sourire avenant, me tendit la main pour une poignée franche et amicale – je ne le connaissais pourtant pas réellement - et m’accompagna, sans rien dire, vers le salon où se trouvait Warda. Elle était sagement assise sur le grand canapé et avait les yeux baissés; comme si elle jouait un rôle ; celui d’une fille timide qui attendait avec appréhension ce qui allait se passer. Je ne l’avais encore jamais vue auparavant. Dans nos échanges épistolaires, elle m’avait parlé de sa beauté et de son corps de vamp. Je croyais qu’elle exagérait un peu pour se mettre en valeur. Et bien non ! Elle était exactement la belle plante qu’elle me décrivait. Une femme dont le corps et l’âme était totalement tendus vers l’érotisme.
Elle n’était vêtue que d’une légère robe d’intérieur en coton de couleur orange, qui s’arrêtait juste au dessus de ses genoux ronds et brillants et qui, malgré la position assise, ou peut-être grâce à elle, mettait en valeur ses formes généreuses. D’évidence, elle ne portait rien en dessous : aucune trace de soutien-gorge, ni de culotte ou de string. Comme d’habitude, elle était à croquer.
- Bonjour Warda ! lui lançai-je d’une voix tonitruante, pour cacher la petite gêne que j’éprouvais en ce moment.
- Bonjour Rachid ! répondit-elle d’une toute petite voix.
Décidemment me dis-je, elle est entrain de jouer à la Sainte ...
... Nitouche ! A la fille innocente qui ne se doute pas de ce qui allait lui arriver ! Elle cherchait à me provoquer pour que je l’entreprenne immédiatement, sans préliminaires. Elle savait que je ne n’étais venu que pour cela. Sa position réservée n’était que du cinéma. Warda voulait jouer avec mes nerfs. Et bien, j’alais lui montrer que je ne jouais pas à ce jeu. J’allais l’entreprendre franchement et lui faire savoir que j’allais la
tirer aussi franchement, sans aucun détour.
Je vins me mettre à genoux devant elle, en m’insérant presque brutalement entre ses genoux que j’écartai sans ménagement. En faisant cela, le bas de sa robe se releva, dénuda ses cuisses jusqu’à leur naissance et me permit d’avoir une vue panoramique sur son jardin secret.
Et quelle vue ! Des cuisses d’une blancheur de lait qui renvoyaient la lumière crue de la belle journée printanière. On aurait dit un miroir ! Et au bout des cuisses, son merveilleux triangle d’amour, parfaitement épilé, avec des grandes lèvres superbement ourlées, dont la couleur sombre contrastait avec la blancheur de la peau de ses jambes et certainement de tout le reste de son corps. Elles laissaient entrevoir des petites lèvres cramoisies, humides et luisantes de mouille. « Elle est déjà toute mouillée » me dis-je en moi-même. Et rien que cette idée me fit bander comme un âne. Je lançais ma main en direction du paradis. Elle entra en contact avec son pubis rond, brillant et bombé et en testa la fermeté.
Le pubis de Warda, ...