La punition de la directrice (7) - Histoires de Sexe

La punition de la directrice (7)

... en prenant garde à l’avenir d’être vigilante et consciencieuse...

— Oui, oui, je promets... mais... me livrer à un inconnu, comme ça... Et si un jour, je le croise, qu’il me reconnaisse... ma réputation...

— Ne vous inquiétez pas, Jenna. Je vais placer un loup sur vos yeux, il ne verra de vous que... enfin, ce qu’il y a de plus intéressant à voir ! » dis-je avec gourmandise.

— Et puis entre nous, si vous me dites que ce que je vous ai fait subir vous a déplu je ne vous croirais pas : vos cris de jouissance, les flots de mouille que votre vulve a produits ont parlé à votre place et contrediraient tout ce que vous pourriez dire. Sous votre apparence de femme honnête et chic se cache une véritable salope, ma chère, une salope domestique qui adore se faire défoncer par ses trois orifices, qui mouille abondamment quand on la domine, quand elle est soumise par un homme à grosse queue, quand elle est à la merci d’un homme viril, dominant et puissamment membré ! N’est-ce pas, Jenna ? lui demandais-je en soulevant son menton, car, à mes mots, elle avait baissé la tête de honte.

— Oui... dit-elle d’une petite voix.

— Oui QUOI ?! ajoutais-je d’une voix ferme et autoritaire.

— Oui, j’aime ça... mais j’ai honte... Rajoute-t-elle.

« - Oubliez votre honte, il faut assumer ses goûts et ses penchants, ma chérie. Surtout tant que ça ne sort pas de la sphère privée. Et ça ne tient qu’à vous que ça n’en sorte pas. Quant à moi, je suis et serai loyal.

Mais pour l’heure il ...

... va falloir assumer un peu plus vos penchants... et en particulier celui de vous exhiber aux hommes ! »

Pendant cette discussion je l’ai détachée et l’ai amenée au centre de la pièce puis l’ai placée debout, les bras en l’air. J’ai attaché ses poignets à des chaînes qui pendent du plafond, et ses chevilles à des anneaux ancrés dans le sol qui lui maintiennent les jambes écartées à une bonne soixantaine de centimètres l’une de l’autre.

Les chaînes tombent bien en avant des fixations des chevilles si bien que la soumise, ainsi attachée, se trouve délicieusement cambrée.

J’actionne le treuil électrique histoire de tendre ses bras au-dessus de sa tête et qu’elle se retrouve les talons de ses bottes bien décollés du sol.

La salope a transpiré sous sa guêpière qui la moule toujours autant. Je toilette sommairement son cul et sa chatte pour la nettoyer de sa cyprine et de ma semence et essuie son corps en sueur afin de la rendre présentable pour l’étranger qui va bientôt la découvrir.

— Ma chère, vous êtes particulièrement bandante ainsi, à la merci de n’importe qui. En bas noirs, guêpière, vos gros nichons par-dessus bord... et avec vos bottes de connasse snob ! ajoutais-je en ricanant !

— Vous êtes tout à fait le style de femme que mon ami rêve de se farcir en l’humiliant. Il va être ravi. Il adore les bourgeoises en bottes, arrogantes et hautaines. Il a eu parfois maille à partir avec certaines d’entre elles, je crois.

Je commence à m’éloigner, puis comme si ...