1. La punition de la directrice (7)


    Datte: 12/06/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Docsevere, Source: Xstory

    Ma jouissance est montée plus vite que je pensais et dans un grognement j’ai tout lâché : un bon lavement au foutre pour cette salope !
    
    Mais si elle croit que je vais en rester là avec elle, si elle croit qu’elle est tirée d’affaire pour aujourd’hui, elle se goure. Je lui ai réservé une surprise.
    
    Je sors de son cul toujours aussi serré, je vais à sa tête, la lui tourne sur le côté et je lui fourre ma queue encore raide dans la gueule et lui balance d’un air méprisant et condescendant :
    
    — Allez, nettoie-moi. Applique-toi. Tu vas être contente que je t’ai fait subir ce grand lavement avant... ainsi tu n’auras que le goût de mon sperme, pas celui de tes saletés.
    
    D’un air dégoutté, la bourgeoise se met à me sucer sans entrain. Pour la stimuler un peu et la punir de sa mollesse, je lui claque un sein. Elle gémit, se plaint... et se remet à la tâche avec un peu plus d’énergie.
    
    Après quelques va-et-vient histoire qu’elle ait bien le goût de ma semence et qu’elle se nourrisse des dernières gouttes qu’elle n’a pas prises par voie rectale, je retire mon nœud et m’éloigne.
    
    Sans un mot je quitte la pièce, la laissant souillée, toujours attachée, avec ses nichons globuleux un peu rouges d’avoir été meurtris par les claques, la cravache et les pinces.
    
    Je vais me doucher, me rhabiller, ce qui prend un bon moment. Je l’ai laissée ainsi, entravée et seule ; elle ne doit pas en mener large.
    
    J’ai juste envoyé un SMS à un ami avant ma douche. Il était prévenu et ça lui ...
    ... laisse le temps d’arriver.
    
    En effet, quinze minutes plus tard, alors que j’ai passé une tenue propre et impeccable, il sonne à la porte. Je le briefe et l’emmène jusque dans l’antichambre des plaisirs. Nous ne nous gênons pas pour parler à voix haute dans l’entrée et, comme j’ai laissé ouverte la porte qui mène aux escaliers de la cave, Jenna a dû nous entendre. Je redescends seul en bas.
    
    Quand je la retrouve, toujours liée dans la même posture, elle me regarde d’un air inquiet. Elle ne peut pas s’empêcher de me questionner, tandis que je la détache :
    
    — Qui est ici ?! J’ai entendu une autre voix que la vôtre... une voix d’homme... Vous avez de la visite ?
    
    — Oui Jenna. NOUS avons de la visite... C’est un ami... Et il est venu pour vous... pour vous voir... vous admirer... Et participer à la fête ! Vous savez, je suis très partageur. Je lui ai déjà parlé de vous - rassurez-vous, il ne sait pas qui vous êtes, et ne connaîtra pas votre identité – et il brûle de vous voir, de se rendre compte par lui-même de vos talents de salope... Et d’en profiter, ajoutais-je avec un sourire sadique.
    
    — Oh nooon.
    
    — Je ne crois pas que vous ayez vraiment le choix, que vous soyez en mesure de refuser, Jenna. Dans votre situation, avec votre dossier actuel et ce dont vous vous êtes rendue coupable, vous avez une dette envers la société... et comme je représente les autorités de santé, je suis le mieux placé pour vous la faire payer et faire en sorte que vous repartiez du bon pied, ...
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