Amis-Amants - Histoires de Sexe

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... féminines qui caressent des cuisses nues sous une table de restaurant. C’est tout en douceur, en délicatesse. Les mains de chaque propriétaire restent sagement sur les cuisses correspondantes pendant la première partie. Par contre, à la fin du film, deux mains se sont croisées : il s’agit maintenant d’un échange de caresses, c’est tout autre chose !

Je reste rêveur et je repasse le film :

— Vous aviez raison les filles, ce film est beaucoup plus émouvant encore que les précédents. Je comprends que vous lui ayez alloué un traitement particulier. Vous aviez l’air déroutées par vos jeux lesbiens plus tard dans la soirée, mais ce film témoigne que vous aviez déjà basculé à ce moment-là. Je ne vois pas ce que vous deux, hétéros convaincus comme vous l’étiez avant cette soirée, avez pu faire de plus pour le dernier film.
— C’est de la composition, pour le film. On ne faisait que de belles images sans se sentir vraiment impliquées. Mais regarde-le suivant ! Tu verras bien ! m’autorise Valérie. Tu ne seras pas déçu, n’est-ce pas Véro ?
— Je ne crois pas, effectivement. Vas-y Steph ! On ne l’a vu que sur un petit écran, on a aussi hâte que toi !

Je lance le quatrième film avec fébrilité, les filles semblent bien plus intéressées par ce dernier malgré la qualité et le côté sulfureux des trois premiers.

Les mêmes cuisses apparaissent sur l’écran dans le même cadre. Cette fois-ci les mains se croisent tout de suite et reprennent leur ballet caressant. Après une minute, les ...

... cuisses se sont écartées encore et les caresses se sont concentrées sur les minous qui apparaissaient nettement. Les mains décrivaient des volutes harmonieuses et la zone s’habillait d’une brillance évocatrice d’une humidité émue. Le film suivant est plus tendancieux encore : les doigts de Valy branlent littéralement le clito de Véro qui ne s’oppose aucunement. Au contraire, ses cuisses s’ouvrent de manière impudique pour offrir le mont glabre et mouillé à la caresse lesbienne.

Je n’en revenais pas : l’expérience entre filles que le rasage et l’intimité du chalet avaient provoquée plus tard n’était donc pas une première. Les filles avaient donc franchi le Rubicon de l’homosexualité pour le jeu et sans vergogne plus tôt, toutes seules, sans ma caution !

— Vous me bluffez les filles ! Surtout toi Véro qui m’as dit ne jamais avoir regardé les filles avant hier ! Ce n’est donc pas le rasage qui t’a fait envisager des caresses féminines !
— Tu vois, dans une salle de restaurant on sait que les caresses n’iront pas plus loin. C’était comme un essayage entre copines. J’adorais que Valy me propose d’oublier toute pudeur entre nous pour produire un film, mais je n’imaginais pas qu’il pourrait un jour être suivi de trucs coquins entre-filles comme ceux que tu nous as obligés à faire hier soir.
— Le jour même ! précisé-je. Et je n’ai pas l’impression de vous avoir forcée.
— Ce film, complète Valy, ne témoigne que d’une composition d’actrices. Je ne supposais pas, à ce moment, ...