Ne pas négliger les préliminaires (2)
Datte: 11/06/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: sifeminin, Source: Xstory
... temps d’admirer sa toison de plus près car Élodie s’est jetée dessus pour lui faire à nouveau un cunnilingus. Cela me faisait tout drôle de voir Elodie donner des coups de langue, car à chaque fois, elle récupérait de ma semence que j’avais déposée en Jacqueline.
Faisant attention, dans la vie de tous les jours à avoir les doigts toujours lisses, sans aucune aspérité, voilà qu’aujourd’hui j’allais pouvoir faire profiter Jacqueline de la douceur de mes mains. J’étais vraiment conscient que j’allais prendre un grand plaisir à effleurer ce corps irréprochable, et je souhaitais de tout cœur que Jacqueline prenne tout autant de plaisir que moi. Dès les premières secondes de contact avec sa peau, j’ai pu découvrir au combien cette dernière était réceptive. Rapidement son anatomie ne m’était plus inconnue, je savais parfaitement où la faire réagir comme je le désirais. Je pense que ses flancs étaient là où mes caresses étaient les plus efficaces. Par moments Élodie reprenait son souffle et me laissait un accès à l’entrecuisse de notre partenaire, à ce moment-là, c’était l’extase. En plus de pouvoir donner un coup de langue expert, j’en profitais surtout pour lui caresser l’intérieur des cuisses car là aussi elle était monstrueusement sensible.
Pendant qu’Elodie était partie préparer un petit encas, moi j’étais en train d’énerver la pointe des seins de Jacqueline, ainsi que son minou. Mes doigts virevoltaient autour de chacun, sans jamais toucher les parties sensibles que sont ...
... les tétons et le clito. Ma partenaire avait désormais fermé les yeux et elle essayait de deviner où allaient passer mes doigts. À chaque fois que je faisais des cercles concentriques autour de sa poitrine ou de son minou, je veillais toujours à m’arrêter avant de toucher le point le plus sensible. À force d’agir ainsi avec mes doigts, Jacqueline n’en pouvait plus, elle voulait maintenant que je m’attarde sur son petit abricot, sur sa friandise, sur la pointe de ses tétons mais je n’en faisais rien. En plus de mes caresses je crois que ma collègue voulait surtout que maintenant je la pénètre de nouveau et je lui redépose ma semence en elle. Je n’en faisais rien et je continuais à effleurer son corps pour la chauffer toujours plus. Quand elle a saisi ma main et surtout mes doigts pour se mettre à me les sucer, j’ai compris qu’il fallait que je passe aux choses sérieuses.
Voilà près de quarante-cinq minutes que j’étais en train de la caresser, Jacqueline n’en pouvait plus. Elle m’avait maintenant saisi le sexe et elle était en train de se caresser le berlingot avec. Si je m’étais écouté, je l’aurais pénétrée immédiatement, mais je préférais que ce soit elle qui gère les opérations. Manifestement elle a vite compris ce que je désirais car elle n’a pas été bien longue à glisser mon sexe dans son étui soyeux. Son vagin était étroit, mais monstrueusement bien lubrifié, manifestement nous avons pris autant de plaisir l’un que l’autre, car à la première pénétration elle s’est mise ...