1. Ne pas négliger les préliminaires (2)


    Datte: 11/06/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: sifeminin, Source: Xstory

    Salut c’est votre folle de lycra
    
    Je suis toujours Franck et voilà douze bonnes années que je travaille pour le ministère de l’Éducation à la station métro Arcueil RER B. Au boulot je me sens un peu comme un loup dans la bergerie, tant il y a de femmes dans mon service. À mon étage, nous vivons à un rythme féminin et cela ne me dérange pas, bien au contraire. Je vais vous avouer que parmi mes collègues, je suis sorti avec la plupart officiellement ou officieusement. J’ai eu l’occasion d’initier des petites jeunes de vingt-deux ans et d’augmenter mes connaissances avec des femmes de près de soixante ans. Toutes m’ont toujours donné beaucoup de plaisir mais je leur ai surtout donné l’habitude à ce que le partenaire masculin prenne grand soin des préliminaires. Je pars du principe que l’on ne pénètre pas une femme si on ne l’a pas chauffée, il faut au préalable la chatouiller, la lécher, la butiner, la caresser.
    
    Vu que j’étais le seul homme dans l’équipe, elles m’avaient assimilé comme étant une femme et elles parlaient de sujets très intimes devant moi. À force de mettre en avant ma théorie devant elles lors des pauses-café, Élodie une collègue et accessoirement ex, m’a informé que notre collègue Jacqueline aimerait bien que je lui présente en réel ma théorie sur les préliminaires. C’est ainsi qu’un week-end je me suis retrouvé chez Élodie en compagnie de notre collègue et que j’ai commencé à la besogner. Cela me faisait tout drôle d’être devant Élodie à faire du bien à ...
    ... notre collègue, par contre cette dernière n’avait pas l’air dérangée de faire ça avec une spectatrice. Je venais de passer une bonne demi-heure à préparer Jacqueline et, Élodie, comme moi estimions qu’elle était prête pour la pénétration. Je venais de donner un premier lent coup de reins, ce qui avait permis à mon sexe de mettre de longues secondes avant d’arriver en butée.
    
    J’aurais aimé que mon sexe fasse soixante ou quatre-vingts centimètres, pour que je puisse savourer encore plus longtemps l’étroitesse et la capacité de contraction de son vagin. Elle avait la jambe droite sur le dossier du canapé et la jambe gauche au sol, sa tête reposait sur l’accoudoir où Élodie avait déposé un oreiller pour plus de confort. Au début je me tenais presque droit, mais maintenant je m’étais fortement incliné pour pouvoir embrasser Jacqueline pendant que j’allais et venais en elle. Ne sachant où poser mes mains, j’avais trouvé un point de chute au niveau de sa poitrine. Cette dernière était ferme, sensible et manifestement très excitée à en toucher la pointe, ses tétons étaient proéminents et je prenais grand plaisir à lui pincer l’extrémité. Pendant ce temps, Élodie m’embrassait ou embrassait notre invitée et surtout, elle me caressait les fesses, le sexe mais aussi celui de Jacqueline. Il n’y avait pas de doute, ces deux femmes avaient déjà eu des rapports entre elles, pour ne pas se sentir uniquement passive, de temps à autre, ma partenaire allait glisser ses doigts dans le minou de ...
«1234...7»