1. À la casserole


    Datte: 11/06/2021, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Anal Mature, Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster

    ... C'était pour moi une première. J'en conçus une joie stupide de petite fille.
    
    Il continuait à maugréer. Je trouvais cela un peu comique. Égoïstement me réjouissais-je d'avoir échappé au bus et à sa promiscuité. Je me sentais du coup sauvé et en sécurité avec cet homme. J'avais envie de lui témoigner de ma reconnaissance. Je fis en sorte que ma jupe fut relevée sur ma cuisse. J'extirpais même un pied de l'escarpin le caressant effrontément devant lui. Je l’allumais. Lui signifiant tout à fait mon désir. Il me balançât un œil tout noir. « Tu veux vraiment faire la pute ? Tu veux dégringoler au ruisseau ? » Mon regard lui marquât ma résolution que quelque chose arrivât.
    
    Nous nous rangeâmes brutalement sur le bas-côté. J'eus l'impression d'avoir affaire à un autre homme. Ses gestes étaient plus lents et précis. Je ne sais comment je fus bientôt sur lui penchée à le sucer. Il était effectivement fort monté. Je me mis en tête d'exceller et de le convaincre de mon talent. Je 'eus pas trop à me forcer. J'ai toujours adoré gratifier cela à un homme ou un garçon. En l’occurrence au collège j'avais bonne réputation pour la chose. Tous les gars de ma classe y passèrent voire-même le prof de maths qui avait eu de vent de mes capacités. Je pompais à tout-va.
    
    Il me fallut obtenir que Franck se calmât et s’abandonnât entre mes lèvres. Ainsi jubilais-je de cette première victoire. Sa main douce se glissât dans mes cheveux. Il avait renoncé à son ton vindicatif. Il murmurait. On eût ...
    ... dit à présent un petit enfant trop content. Quelques bribes de paroles me parvinrent : « Tu fais ça bien. Tu es une bonne fille. J'en avais envie depuis longtemps. » Il est vrai que nous aurions du sacrifier plus tôt à ce rite. Il fallait ratt****r le temps perdu. Nous nous dévorâmes nos bouches. Il en avait envie plus que moi. Cela pressait. Je le branlais telle une folle.
    
    Sa main au fond de ma culotte s'était assurée que je mouillais. En un grognement de satisfaction il vit que j'avais la culotte en effet transparente. Il s'exclamât : « Le gars avait raison. T'es une sacrée salope. » Depuis quelque temps j'avais cédé à cette fantaisie. J'éprouvais ainsi le sentiment d'être nue et offerte au premier venu. Il était maintenant périlleux que je décroisas les cuisses et demeuras ainsi longtemps. Une femme nantie d'une telle culotte se signalait irrémédiablement en garce. Franck allait inaugurer ce soir-là une nouvelle époque. Je méritais sûrement le vocable de putain.
    
    Je lui suggérais d’aller sur la banquette et de nous emmener un endroit plus tranquille. Il applaudit à mon bon sens. Il m'entraîna à un sous-bois dont il semblait familier. Il avait du y saillir quelques coquines. Je m'ajoutais à ce harem. Il devint du coup un peu brutal ce qui me ravit. Je me sentais femelle plus que jamais. J’avais envie qu'on me foutât de partout. Debout les mains sur le capot je pus affronter ses grands coups de boutoir entre mes fesses. Je m'avisais trop tard que ce bois pouvait bien ...