1. La pute de Monsieur C épisode 1


    Datte: 10/06/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: LilaLewis, Source: Hds

    ... se planter près de moi. Assise dans un fauteuil bas, je me retrouvai nez à nez avec une bosse énorme qui déformait le pantalon à hauteur de braguette. J'aurais dû fuir mais loin de là, je restai à contempler la bosse. Sans un mot, C appuya fermement à l'arrière de ma tête et mon visage vint frotter contre la proéminence dont je sentis l'odeur musquée à peine masquée par le tissu de qualité. C me relâcha aussitôt avec un sourire entendu. "Des bourgeoises comme toi, j'en ai baisé des centaines", me glissa-t-il à l'oreille. J’aurais dû fuir, le planter là et démissionner sur le champ mais au contraire, ses mots se glissèrent entre mes cuisses qui s’écartèrent subrepticement. Juste assez fort pour qu’il sente ce mouvement inconscient et y lise mon assentiment.
    
    « Jamais tu n’as été traitée comme une chienne. » Ajouta-t-il. « Une petite chienne docile qui se laisse monter sans rien dire et qui ne jouit que si son maître l’y autorise. Je ferai de toi cette petite chienne-là. » Sans un mot de plus, il me fit lever de mon siège sans me toucher davantage. Le lendemain, je devais revenir, m’ordonna-t-il, sans rien porter sous ma jupe d’autre que des bas retenus par des porte-jarretelles dont il recommanda un modèle que j’irais me procurer dans un magasin spécialisé dans la lingerie érotique où il avait ses habitudes. Il glissa rapidement quelques billets dans ma main, pressa mon sein droit fortement et me congédia dans l’instant.
    
    Ma vulve était gonflée, douloureuse presque. Je ...
    ... n’avais pas ressenti pareille excitation depuis les premiers temps de mon mariage. La frustration endurée auprès de ce mari abstinent m’avait rendue perméable à toutes les aventures et ce sexagénaire ventripotent venait de me prouver que je n’avais qu’une envie : que n’importe qui me prenne, me fasse jouir et redonne vie à ce sexe laissé en jachère depuis trop d’années.
    
    Je sortis, comme il me l’avait ordonné, pour aller chercher les sous-vêtements recommandés. Je me vis bientôt harnachée dans un dispositif audacieux, noir et rouge, dont le soutien-gorge laissait les têtons à découvert et le serre-taille soulignait la courbe des fesses tout en offrant le sexe à la vue.
    
    Le lendemain matin, je revêtis sur cet attirail, une jupe stricte mais assez souple pour permettre qu’on la trousse, un chemisier de soie grège de bon ton mais qui laissait voir, grâce à la finesse de l’étoffe, deux têtons dressés, dont j’oubliais sciemment de boutonner les deux derniers boutons afin que l’on voit la naissance des seins et qu’on ait envie d’y plonger le regard. Contrairement à mon habitude, je décidais de porter mes talons les plus hauts. Mon mètre soixante-quinze poussé vers le haut de 10 centimètres de plus, je me sentis royale en poussant la porte du bureau de C.
    
    Guère impressionné, l’homme me demanda de rester au milieu de la pièce, à quelques mètres de lui. Je devais rester debout, jambes légèrement écartées et remonter ma jupe. J’exhibais ainsi le porte-jarretelle neuf qui encadrait ...