1. Histoire d'un dépucelage (1)


    Datte: 15/05/2018, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: celestin999, Source: Xstory

    ... éjaculation trop rapide.
    
    Impossible de dire depuis combien de temps j’étais à me branler. Le plaisir montait, j’allais atteindre le point de non-retour, et cherchais mon slip afin de recueillir mon sperme sur le point de jaillir.
    
    Avais-je juste poussé la porte de ma chambre ???... Je ne sais plus...
    
    Toujours est-il qu’en ouvrant les yeux pour mettre la main sur mon slip, je vis ma tante, debout à côté de mon lit, sourire aux lèvres.
    
    Paniqué d’être surpris en plein " délit " de masturbation, par réflexe, j’essayais de dissimuler mon érection et ses deux jumelles de mes mains. Peine perdue, je n’ai réussi à rien bloquer en érection.
    
    — c’est normal ces choses-là, à ton âge...Rassure-toi...ça restera entre nous.....
    
    S’asseyant sur le bord du lit, elle écarta lentement mes mains, le regard porté sur mon sexe toujours en érection et mes testicules bien remontés.
    
    J’étais paralysé, muet, jamais je n’aurai imaginé un tel geste de ma tante d’habitude pudique.
    
    Le contact de sa main sur ma cuisse faisait monter dans mon bas-ventre une sensation que je n’avais jamais connue, mon sexe était raide comme un bâton de flic.
    
    — j’aurai jamais cru que tu en as une comme ça...Elle est beaucoup plus grande que celle de ton oncle...dit-elle refermant délicatement ses doigts sur ma queue raide. En faisant coulisser lentement sa main sur ma tige, mon gland violacé est sorti de son manchon.
    
    J’en étais presque honteux de bander aussi fort.
    
    Délaissant mon cierge, sa ...
    ... main passa entre mes cuisses pour partir à la découverte de mes testicules qu’elle palpa avec délicatesse du bout des doigts comme elle l’aurait fait avec un fruit mûr.
    
    — et bien plus grosses aussi. Il y a mieux que tes doigts pour les vider, tu sais.....
    
    Les yeux rivés sur ma colonne de chair plus raide que jamais et sur sa main qui continuait à me palper les couilles, je n’avais pas vu que de l’autre, elle avait déboutonné sa blouse jusqu’à la taille.
    
    Sans rien dire de plus, sans précipitation, elle s’est redressée, a descendu sa culotte et m’a enjambé. A cheval sur moi, sa main droite sous sa blouse, elle s’est emparée de mon gourdin le guidant entre ses cuisses, le gros bout dans le cratère de sa vulve.
    
    Elle m’a regardé dans les yeux, écarté les cuisses, ondulé des hanches et s’est laissée glisser lentement sur mon pieu jusqu’à la garde en exhalant un long soupir de satisfaction.
    
    Le temps s’est arrêté quelques secondes, je n’en croyais pas mes yeux, ma tante venait de s’empaler sur moi. Elle a fini de déboutonner sa blouse qui a atterri sur la descente de lit tout comme son jupon qui passa aussitôt par-dessus ses épaules.
    
    Penchée sur moi, en appui sur ses mains, j’avais devant les yeux les deux globes de ses seins lourds sur lesquels je m’étais masturbé et vidé les couilles la veille.
    
    Ses seins lourds se terminaient par de larges aréoles roses et des petits bouts...sans doute parce qu’elle n’avait jamais connu la maternité ni allaité.
    
    — Tu peux les ...
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