1. Histoire d'un dépucelage (1)


    Datte: 15/05/2018, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: celestin999, Source: Xstory

    Cette histoire est un peu le complément à la première partie de " Sexe, Inceste et triolisme. Il s’agit du dépucelage de Marc et de sa découverte des plaisirs du sexe avec sa tante.
    
    Fils unique, des parents commerçants travaillant quasiment 7 jours sur 7, je passais plus de temps chez ma tante et son mari qu’avec mes parents, notamment à chaque vacance scolaire, ceux-ci ne voulant pas que je reste seul dans l’appartement. De plus, eux avaient une petite maison.
    
    De tout jeune, j’ai eu ma chambre chez eux. J’avais, pour ainsi dire, deux foyers, et ma tante en maman de substitution......
    
    C’était un couple sans enfant, au moment des faits, ma tante avait dans les 45 ans, et son mari, que j’appelais mon oncle, la cinquantaine.
    
    Mon oncle avait un boulot qui l’occupait du matin au soir, du lundi au samedi; bref, pas très présent auprès de sa femme. Le soir, après le repas, c’était un peu la télé dans son fauteuil; ensuite, il allait se coucher, nous laissant seuls, ma tante et moi, sur le canapé, à regarder la télé...
    
    Ma tante, femme au foyer, s’occupait de la maison et du petit jardin. C’était une femme douce, gentille et souriante. Question physique, je dirai aujourd’hui qu’elle ressemblait à l’actrice qui joue dans le film " la grande bouffe ".
    
    Les vacances d’été venaient de commencer...il faisait déjà chaud en ce milieu de matinée...
    
    — Tu devrais aller fermer les volets de ta chambre, ça va encore chauffer aujourd’hui...
    
    Tournant la tête, je vis ma ...
    ... tante, penchée en avant, à ramasser je ne sais quoi. Mon regard a été immédiatement attiré par le haut de sa blouse déboutonnée. J’avais une vue imprenable sur la vallée des seins lourds qui tendaient le tissu. Avec la chaleur, elle s’était laissée aller et ne portait sous sa blouse sans manche qu’un jupon qui faisait soutien-gorge, comme nombre de femmes à cette époque.
    
    Sa tenue n’avait rien de sexy en soi, mais chez le puceau que j’étais, cela mit mon imagination et mes hormones en émoi.
    
    Le soir, dans mon lit, je me suis masturbé longuement avec la vision de cette poitrine généreuse en tête. Le plaisir que j’ai eu a été de loin supérieur à ceux que j’avais, après avoir aperçu le haut d’une cuisse de mes copines.
    
    Le lendemain, après le repas de midi, impossible de rester dehors avec la chaleur, je suis monté dans ma chambre où les persiennes fermées depuis le début de matinée avaient gardé une fraîcheur relative tout en laissant passer une certaine clarté.
    
    Allongé sur mon lit, je n’avais gardé que mon slip. Mes pensées vagabondaient sur la vision de la poitrine de ma tante. Les mains d’abord dans le slip, je l’avais retiré pour mieux me tripoter.
    
    Dans le calme et la pénombre de ma chambre, les yeux fermés, je savourais le lent va-et-vient que je faisais faire à mon prépuce sur mon gland dilaté. Je ne me branlais jamais de façon frénétique, j’aimais faire durer mes branlettes le plus longtemps possible, m’arrêtant de temps à autre pour calmer le jeu et éviter une ...
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