1. L'enseignante Pt. 02


    Datte: 08/06/2021, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byLecteur9, Source: Literotica

    ... partie de ses hanches nues. La jeune professeur s'exhibait devant ces deux arabes, ayant perdue toute notion de pudeur.
    
    Sidi lui fixa à nouveau et avec ses mains, il lui fit comprendre qu'il désirait qu'elle écarte les cuisses. Comme dans un cauchemar trop réel Catherine obéis, écartant ses cuisses d'un vingtaine de centimètres. La jeune femme les vit sourire en découvrant les dessins obscènes sur ses cuisses. Ali sortit sa langue et il fixa la jeune rousse en caressant sa braguette, murmurant « baisez-moi ».
    
    Catherine pâlit, le ventre s'humidifiant, les pointes des seins dressées malgré elle, en le voyant sortir son sexe en demi-erection. Sidi lui fit encore et encore écarter les cuisses, et la jeune femme obéissait avec de moins en moins de dégoût, jusqu'à ce que la jeune rousse soit complètement ouverte et offerte, le sexe en avant, la vulve bien découverte.
    
    Catherine De Montfort avait honte d'elle, jamais la jeune femme n'aurait pensé que l'on pouvait s'offrir de cette façon. Elle ne pouvait soutenir leurs regards brillants et vicieux alors baissant les yeux la jeune femme réprima ses sanglots.
    
    Soudain Catherine vit un papier roulé que l'on jetait sur son bureau, levant les yeux, inquiète la jeune femme fixa la classe mais tout le monde semblait travailler même Sidi et Ali. Défroissant le papier la jeune institurice lut :
    
    - C'est très bien.....mais maintenant..tu vas remonter ta robe très haut sur tes hanches ma belle....je te veux cul nu sur la ...
    ... chaise...
    
    Tremblante, elle vit Sidi et Ali ricaner, et glissant une main mal assurée vers la robe la jeune rousse obéit. Elle remonta lentement le tissu fin sur ses hanches, la tête baissée, ne pouvant regarder la classe. Il lui semblait que tous savaient ce qu'elle faisait. Doucement, aussi discretement que possible la jeune femme tira sa robe dans son dos, se soulevant un peu. Catherine se rassit posant ses fesses nues et delicates sur le bois de la chaise. A ce contact la jeune femme eut un frisson de honte violent.
    
    La jeune bourgeoise resta dans la même position, cuisses écartées, le sexe en avant, offerte et humiliée, les narines pincées, elle les fixait, les yeux sur leurs sexes sortis et nus, durs. Ils se masturbaient devant elle, fixant la jeune rousse d'un air merdeux et ironique.
    
    La vision de ces gamins hautains, devant lesquels pour la première fois elle s'offrait impudiquement, provoqua un spasme violent qui la secoua entièrement tel un frisson qui lui parcourait le corps.
    
    Catherine ne put soutenir leurs regards lubriques et elle baissa les yeux, essayant d'oublier la situation mais en vain. Quelques minutes après, la jeune femme vit Sidi lancer une feuille pliée sur le bureau.
    
    Catherine ne voulait pas la voir, ayant peur de ce qui pouvait lui être encore demandé. Mais d'une main hésitante l'institutrice prit le papier et l'ouvrit :
    
    Chère madame,
    
    Quelques mots pour dire ce que je vois.... il faut bien que vous appreciez la situation à sa juste valeur. ...