Maxime chéri... - Histoires de Sexe

Maxime chéri...

... problème.

Je sais qu’il est sincère, et pourtant, le garçon ne manque vraiment pas de charme. Je me dis que si je l’aide à résoudre son problème, il m’en sera reconnaissant, et qu’il me sera beaucoup plus facile de le faire travailler.

— Je peux t’aider, mais c’est donnant-donnant, tu travailles au lycée comme tu ne l’as jamais fait, et moi je t’aide pour les filles, marché conclu ?

Ses yeux brillent quand il me répond « Marché conclu ! »

Rapidement, j’échafaude une stratégie pour lui permettre d’attirer l’attention des filles, et lui en explique les grandes lignes :

— Pour notre prochain cours, je viens te chercher à la sortie du lycée, je te poserai une question à l’oreille, pour me répondre, tu me prendras par les épaules, comme si j’étais ta copine.

Le surlendemain, je le retrouve à la sortie du lycée. Je suis légère et court vêtue, chaussée d’escarpins, avec des lunettes de soleil pour pouvoir observer sans être vue. Dès qu’il sort du lycée, je lui fais de grands signes pour attirer l’attention sur moi, et lui crie :

— Théo ! Théo !

J’ai réussi à capter l’attention générale, les regards convergent vers moi, Théo arrive avec un grand sourire, je jette mes bras autour de son cou, l’embrasse très près de la bouche, puis je lui demande à l’oreille :

— Désigne-moi clairement du doigt la plus belle fille de ta classe, celle qui te plaît le plus, laisse-lui le temps de voir ton geste, n’oublie pas de mettre ton bras sur mes épaules pour me répondre, ...

... et dis-moi son prénom à l’oreille.

Théo me prend par les épaules et me désigne une très jolie fille.

— C’est Clarissa, elle je l’adore, mais elle est trop bien pour moi.

Notre manège n’a échappé à personne, je suis prête à parier que Théo aura des questions dès le lendemain. Je lui glisse à l’oreille :

— Je connais les filles, et je te dis que demain, Clarissa viendra te parler ! Bon maintenant on a du travail qui nous attend, en route, et si jamais quelqu’un te pose des questions sur moi, donne une réponse évasive. Si Clarissa te demande pourquoi tu l’as désignée du doigt, tu lui dis ce que je t’ai demandé à l’oreille. Surtout ne dis à personne que je te donne des cours, laisse-les penser ce qu’ils veulent.

Quand nous nous éloignons du lycée, je m’accroche à son bras et me colle contre lui.

Le cours suivant, Théo arrive fou de joie :

— Tu es absolument géniale, ça a marché !

Je ne suis pas spécialement surprise, et fais semblant de me désintéresser du sujet :

— Donc aujourd’hui nous avons beaucoup de travail sur la planche, et j’aimerais aussi jeter un coup d’œil sur tes notes.

Le cours se passe très bien et je suis satisfaite des appréciations des professeurs.

— Maintenant, tu peux me raconter !
— Eh bien hier, dès que je suis arrivé, plusieurs copains se sont précipités sur moi, et m’ont demandé quel était le canon qui était venu me chercher à la sortie du lycée, j’ai répondu une amie, ils m’ont charrié, m’ont demandé de tout leur dire, je ...