1. Atelier d'artisanat - 2


    Datte: 07/06/2021, Catégories: fh, cocus, humilié(e), vengeance, pénétratio, extraconj, Auteur: Passerose, Source: Revebebe

    ... cassette.
    
    — Ce n’est pas par hasard que vous vous êtes retrouvés ici ; tu le dis toi-même, tu avais préparé un nid d’amour. Quand… je te recevrai dans notre chambre. Ce soir tu ne livrais qu’une partie, mais tu viens de t’entendre promettre notre lit, c’est bien ta voix, n’est-ce pas ? Ton respect ne devait donc pas résister au temps, c’était une question de jours, avant que tu réussisses à me déboulonner et à me faire passer à la trappe.
    
    Elle est livide. Que peut-elle opposer à ses propres paroles ? Je continue, le pire arrive : les chatouilles, « fais-moi un enfant », « notre secret », « je penserai à toi en le regardant grandir » … et les bruits des ébats amoureux.
    
    Elle se bouche les oreilles, ne veut plus entendre son délire.
    
    — Vois-tu, c’est ce que je ne pourrai jamais te pardonner. Qui ne voulait pas d’enfant jusqu’à présent ? Toi ! Qui ne voulait que des rapports protégés ? Et tu vas demander à cet amour à la sauvette de t’engrosser, de garder un enfant qui lui ressemblera mais que ton cocu de mari élèvera sans savoir qu’il n’est pas son véritable père. Peut-on tomber plus bas dans le mépris de son mari ? C’est la preuve qui convaincra le juge des divorces si les photos ne suffisent pas.
    — Quoi, tu veux divorcer ? Oh non ! je t’en supplie.
    — Tu ne connaissais qu’une expression : «Fais-moi confiance». Quelle confiance pourrais-je avoir en toi ? Samedi, alors que Gilles t’avait pénétrée jeudi, tu me jurais que tu m’aimais. Déjà, ayant assisté à mon ...
    ... cocufiage deux fois, tes paroles me soulevaient le cœur. Mais ce que tu as dit là, à propos de cet enfant, c’est la pire ignominie. Oui, je veux divorcer, te laisser libre d’aller avec Gilles qui sera libre puisque sa femme aussi divorce. Et si tu veux le retrouver, va le rejoindre chez ses parents où Sylvie l’a livré. Il sera très heureux d’élever l’enfant que tu as accueilli dans ton ventre ce soir en souvenir.
    
    Cette fois c’est un torrent de larmes qui déferle.
    
    — Ton vœu sera exaucé, tu vas donner vie à un enfant qui ne sera pas de moi, première satisfaction pour toi, puisque ça fait longtemps que nous prenions des précautions et que nous n’avons pas fait l’amour depuis un mois. Il faudrait que tu sois stérile pour n’être pas enceinte : tu as choisi la période la plus favorable sans utiliser une protection. Il te reste à trouver un autre pigeon pour l’élever, ce rejeton que tu as appelé de tes vœux. Mais compte sur moi pour renseigner tes prétendants sur la manière que tu as utilisée pour parvenir à concevoir.
    — Si tu fais ça, c‘est la preuve que tu ne m‘aimes plus. Ce n‘est pas possible. Laisse-moi me nettoyer. Ou bien je me ferai avorter.
    — Est-ce moi qui t’ai trahie ? Libre à toi de te faire avorter quand tu auras quitté cette maison. J’ai pris quatre semaines de congés et je vais veiller sur toi en attendant de voir arriver ou ne pas arriver tes prochaines règles. Après je te jetterai à la rue : tu pourras toujours t’adresser à ton amant, s’il veut de toi ; ce qui ...