1. Une pute en son bar


    Datte: 06/06/2021, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme Mature, Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster

    ... m'expliquât d'emblée que nous ne serions pas exclusifs l'un de l'autre. Il aurait d'autres partenaires que moi et je devrais des fois enter dans ses jeux où la pluralité de partenaires étaient le moindre. Concevez qu'une telle révolution m’effraya au début. Je passais ainsi sans transition du silence du cloître à la boîte échangiste sonore. Heureusement je n'eus pas trop de temps à réfléchir. Je fus pris comme dans un tourbillon. Je me souviens un soir m’être avisée soudain dans un miroir. Le lieu était glauque. J'étais méconnaissable et maquillée. Un spectre.
    
    Mi-nue bardée d'un peu de cuir, je percevais dans la pénombre un type collé à moi. Il devait comme d'autres besogner dans mon cul. C'était le énième en cette soirée d'orgie. Je réalisais
    
    ma passivité, morceau de viande partagé entre nombre de mâles inconnus. D'autres femmes alentour se damnaient comme moi. Bétail docile. J'attendais d'être prise par un autre ou plusieurs. Il n'y a pas un an je répugnais à prodiguer une fellation ou à accepter qu'on m'enculât. A présent tout cela relevait pour moi d'une routine de haut vol. j'étais devenue experte. Je savourais le mot de pute.
    
    Outre ces lieux de partouze, nous écumions sur le net nombre de sites. Nous y rencontrions de nouveaux partenaires. J’étais volontiers offert aux plus vicieux et pervers. Mon compagnon adorait assister à mes humiliations. Son truc état d'en tirer de succulentes vidéos qu'il dispersait ensuite sur la toile. J'y avais maintenant ma ...
    ... réputation. Tout au plus avait-il concédé que je fus floutée quant au visage ou que je portas des fois un loup sur celui-ci. Je dus convenir de la qualité de ces vidéos et qu'elle m’excitait et me fascinait. Ma minable existence prenait là une autre ampleur. Je renaissais.
    
    Le plus curieux est que je conservais une vie sociale studieuse et banale. Ce contraste ajoutait à mon plaisir. J'avais appris à dissimuler et à cultiver l'art de la double vie. Je n'adorais rien tant que de faire des dupes, de mes amis et collègues. Dans la famille on ricanait croyant toujours que je demeurais la première communiante coincée. On désespérait de me trouver un nouveau mari. Une vielle tant revêche me lançait : « Idiote veux-tu te dessécher et de devenir vieille fille ? » J'en souriais. Devinaient-il ces sots que je portais des fois des bas sous ma robe délestée de ma culotte ?
    
    Il est vrai que je n'appréhendais rein tant que d'être démasquée un jour. Aussi tâchais-je d'assouvir mes turpitudes loin de mes lieux de domicile et de travail. En cela je me grimais et fardais à un point qu'il eût été impossible de me reconnaître. Les lunettes noires et la perruque faisaient partie de mes ingrédients. On n'eût vu de loin et en ma personne qu'une sorte de prostituée qui allait quérir le client. Je jubilais sous ce masque. J'avais convenu du reste avec mon compagnon de réaliser deux, trois exploits la semaine et de le lui relater. J'en parvenais à en ramener des fois quelques vidéos.
    
    Cela se résumait ...
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