Toutes les femmes s'appellent Marie : Fin de soirée au Freedom
Datte: 06/06/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Yan Loutort, Source: Hds
... laquelle elle se trouve depuis le départ de son dernier amant.
Claudie a des compétences de décorateur, Max des idées d’aménagement et Martha désire que le club soit de qualité, convivial et sécurisé. Le résultat est à la hauteur de leurs espérances. Grâce à leur carnet d’adresses dans le milieu libertin, le club devient vite une référence dans tout l’Aquitaine et le nord de l’Espagne.
Le « plus » du club, c’est de fameux cocktail dont Martha a le secret. Sans alcool, légèrement euphorisant et aphrodisiaque. Cent pour cent naturel et sans effets secondaires, il va faire la réputation du Freedom. Certains clients d’ailleurs lui donnent le nom du club. Il est servi gratuitement et avec l’habitude, la quantité préparée est calculée en fonction de la fréquentation prévue à l’avance par le système de réservation. Cela limite la perte et il est ainsi toujours frais.
« Ce soir je fête mon anniversaire au club, nous dit Martha. J’aimerais que vous y soyez.
C’est que… Nous n’avions pas prévu, dis-je et …
Si c’est une question d’argent, pas de problème ! Tout le monde est invité. Il n’y aura que des amis et des habitués.
Il faut que l’on rende la chambre lundi avant midi. Comme aujourd’hui déjà on va peu dormir…
Vous êtes dans quel hôtel ? Si ce n’est pas indiscret.
Le Bellevue tout à côté.
Ah ! Alors, c’est réglé. Le patron est un ami et il sera d’ailleurs à la soirée. Nous sommes aussi associés. Je vais arranger ça.
Je n’ai pas prévu, dit Marie. Je n’ai ...
... que cette robe !
Viens avec moi déclare Claudie. On va trouver quelque chose pour toi dans ma chambre. »
Les deux femmes s’en vont. Max part se coucher car il se lève tôt pour ravitailler le club et le préparer après le passage de la femme de ménage. Martha, n’a pas envie de dormir et m’entraîne sur la terrasse. Le jour s’est levé. Une légère brise fait bouger les feuilles des palmiers qui décorent l’espace. Nous nous approchons de la murette pour regarder l’océan. Une marche a été aménagée et permet à Martha d’arriver à hauteur. La brise plaque sa djellaba et dessine sa silhouette. Je suis encore excité – l’effet du cocktail fonctionne encore -Je me colle derrière elle. Je défais mon pantalon, remonte le tissu de son vêtement sans qu’elle ne s’y oppose et je l’embroche sans coup férir, provoquant juste un grognement de plaisir « Hummmm »
Je la baise ainsi debout contre le mur en pelotant ses seins qui arrivent juste au dessus du bord. Ma bite enserrée dans son antre élastique, je ne bouge presque pas.
En dessous de nous, sur la promenade du bord de mer, quelques passants déambulent sans se douter de notre activité. Celui qui se rince l’œil, c’est un voisin que je remarque derrière le mur d’une terrasse éloignée. Il nous observe avec des jumelles. Je ne dis rien à Martha, mais je lui retire son vêtement, enlève ma chemise et me décale un peu pour que l’homme puisse voir ma queue entrer et sortir entre les fesses de la naine.
Une dernière fois, après que Martha ...