Toutes les femmes s'appellent Marie : Fin de soirée au Freedom - Histoires de Sexe

Toutes les femmes s'appellent Marie : Fin de soirée au Freedom

La soirée se termine et nous nous sommes rhabillés depuis un moment. Marie dans sa robe reste très sexy. Le jeune homme qu’elle a sucé est venu lui dire au revoir et l’a embrassée en souhaitant la revoir bientôt. Le couple également est venu nous remercier. Martha, qui elle aussi est rhabillée s’affaire à saluer tous les clients qui partent, cela fait partie des rites de la maison. Le client est choyé de l’entrée à la sortie de l’établissement. Il en va de sa renommée. Martha en profite pour leur glisser une carte de visite et invite ceux qui ne l’ont déjà fait, à s’inscrire sur le site internet du club pour connaître les privilèges et les soirées à thème régulièrement mises en place.

Marie parle avec Claudie. Les deux femmes sont très proches et te touchent ou se bécotent fréquemment. Très complices.

Il est presque cinq heures du matin et les derniers clients quittent l’établissement. Mouammar, le grand black videur s’en va à son tour après avoir ramené les croissants tout frais pour le petit déjeuner et Martha ferme la porte à clé. Je fais un tour des salles avec Max, le DJ et mari de Claudie. Nous ramassons quelques verres qui traînent. Le reste, sera nettoyé dans la matinée par la femme de ménage qui vient vers dix heures.

Par une porte derrière le bar, nous empruntons un escalier qui accède à l’appartement du couple. Un vaste salon avec une baie vitrée qui donne sur l’océan. Les premières lueurs de l’aube me rappellent une histoire vécue il y a quarante ans. Je ...

... leur raconte pour rire. Nous avions en effet, jeunes étudiants en goguette, pensé regarder le lever du soleil face à l’océan et ce n’est que quand le jour a été clair que nous avions réalisé que nos regardions à l’ouest et que le soleil bien sûr se lève à l'est !!

Autour de la table du petit déjeuner, nous faisons un peu plus connaissance. Si Claudie et Max sont les gérants, la propriétaire du club, c’est Martha, qui possède d’ailleurs tout le bâtiment ainsi qu’une autre maison à proximité, avec deux appartements, dont un qu’elle habite.

Elle nous explique avoir fait un héritage d’une vieille tante biarrote qui lui a légué toute sa fortune, parmi laquelle l’ancien club, tombé en désuétude après les années quatre vingt. La bâtisse, bien située près de l’océan, était convoitée par des promoteurs et Martha prête à vendre lorsque sa nièce Claudie et son mari se sont retrouvés au chômage. Libertins pratiquants, ils lui présentent leur projet de créer un club libertin dans l’ancienne boite de nuit. Martha est séduite par le projet mais impose une condition : participer à la vie du club !

Max et Claudie sont stupéfaits ! Ils n’auraient jamais pensé que Martha puisse être libertine. C’est vrai que l’on pense souvent « handicap » pour les « personnes de petite taille » comme on dit maintenant, et cela induit qu’elles n’ont pas de vie sexuelle.

Martha a toujours bien profité de ce côté-là et elle voit dans ce club, l’occasion de sortir un peu de la « misère sexuelle » dans ...