1. Négociation


    Datte: 06/06/2021, Catégories: fh, inconnu, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral pénétratio, occasion, Auteur: Perdita, Source: Revebebe

    ... seins fermes, son grain de peau et son parfum qui revient encore et toujours m’excitent au plus haut point. Attendant la suite, je m’assois sur le bureau, la jolie fille s’approche de moi d’un pas chaloupé. Sa poitrine est maintenant au niveau de mon visage. Elle saisit ma cravate et approche sa bouche. Je sens son souffle léger avec un zeste de fruit sucré, d’orange ou peut-être de bergamote. Elle ouvre les lèvres et m’embrasse doucement. Sa langue charnue joue avec la mienne, je goûte ce moment. Jamais je n’aurais pensé que cette négociation allait finir de la sorte, mon cœur accélère. Elle me prend des deux mains, sa respiration change de rythme, sa langue s’active de plus en plus. J’incline la tête, Faustine fait de même. J’ouvre les yeux, les siens sont clos, elle savoure cet instant.
    
    Au fait, je crois que j’ai envie d’elle, je crois que j’ai envie de la prendre, mais je ne veux pas perdre l’avantage de cette négociation. Je la saisis par la hanche, je me lève sans rompre le baiser, la soulève, elle glisse ses jambes derrière moi et se pose sur le bureau à la place où j’étais. Notre étreinte continue, je sens toujours ses lèvres au goût de bergamote, maintenant j’en suis sûr. Sa langue et son souffle ne diminuent pas le rythme. Je me redresse et casse le baiser. Elle me regarde un peu décontenancée, ses yeux pleins de désir.
    
    — Je te propose un nouvel accord, on oublie la pipe pour aujourd’hui et je m’occupe de toi à la place.
    — Qu’est-ce que vous entendez par ...
    ... m’occuper de moi, Pierre ?
    — Je vais te lécher la chatte jusqu’à ce que tu jouisses.
    
    Sur ses mots, je déchire son collant, je m’agenouille, écarte sa culotte blanche. Quel bijou ! Son abricot là, bien épilé, ses lèvres ouvertes sont trempées de mouille. Je vois le trou de son vagin et au-dessus son clitoris gonflé par le désir, il semble que cette négociation ne l’a pas non plus laissée de marbre. Je contemple ce temple de la féminité avant que deux mains m’attrapent par le crâne et me pousse plus en avant.
    
    — Lèche-moi la chatte, j’en ai trop besoin.
    — Accord conclu, madame Lempereur.
    — Oui, accord conclu, occupez-vous de moi !
    
    J’obtempère et je glisse ma langue entre ses lèvres chaudes, je déguste le suc du fruit de mon acheteuse. À peine ma langue a-t-elle touché son corps que je sens que ses mains, ses hanches, ses cuisses se crispent. Qu’est-ce qu’elle a bon goût ! Ma langue masse ses nymphes et l’entrée de sa vulve, son jus ne cesse de couler dans ma bouche. Il a un goût incertain, sucré et salé, amer et doux, c’est un parfait délice. Au moment où mes coups de langue montent jusqu’au bouton de plaisir. J’entends Faustine crier. Je m’arrête.
    
    — N’arrêtez pas, Pierre, n’arrêtez surtout pas, Pierre, c’est beaucoup trop bon.
    
    Je retourne à la tâche et redouble d’efforts en léchant, en suçant et en tournant sa framboise. Je ne veux pas que ça s’arrête et il en est de même pour Faustine, à la vue de la pression de ses mains sur l’arrière de mon crâne. Ma langue est ...
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