Floryda 2113 AD
Datte: 23/01/2018,
Catégories:
f,
fh,
ffh,
inconnu,
gros(ses),
fépilée,
Collègues / Travail
Masturbation
rasage,
Oral
légumes,
fsodo,
sf,
Auteur: Armitage, Source: Revebebe
... bonus d’une location de coffre-fort. Il l’invita à le suivre dans la salle aux trésors. Bien que payés par virement électronique, les employés de Floryda pouvaient disposer de crédits papiers, pour des usages multiples. Le garde lourdement armé de l’entrée de la salle des coffres s’effaça devant Conrad et Betty, sans pouvoir s’empêcher de lui mater les fesses.
Betty dut aussi satisfaire au contrôle biométrique avant de passer la porte menant aux coffres des propriétaires. Elle se pencha sur le scanner, deux rayons lasers enregistrèrent l’iris de ses yeux pour les rentrer dans une base de données. Penchée sur la machine, elle avait volontairement cambré les reins, sa robe remonta un peu. Conrad matait la naissance de ses fesses, il avait mal au ventre.
Il ouvrit avec sa clé magnétique un coffre à mi-hauteur et pria Betty de faire de même, en lui tendant une autre clé. La serrure étant un peu basse pour elle, elle s’accroupit. Sa robe dévoila la moitié de ses fesses, Conrad n’y tint plus.
Il approcha une main et l’enfouit entre les cuisses de Betty. Elle ne dit rien, elle avait prévu le coup. Conrad se mit à genoux derrière elle et sa main lui farfouilla le sexe. Elle roula sur le côté, sa robe sur le ventre. On voyait cette fois-ci son string sur son ventre plat bronzé. Pas effarouchée, elle se mit sur les genoux et fit passer sa robe au-dessus de la tête, libérant ses seins. Conrad faillit hurler, elle était nue en string devant lui.
Il plongea sa tête entre ...
... les cuisses de Betty allongée. Suite à cet assaut, il lui baissa le string jusqu’aux genoux, dévoilant sous ses yeux hagards le mont de Vénus au pubis rasé. Il lui leva les jambes et enfouit la tête entre les cuisses ouvertes, sa langue lécha la fente de la vulve et insista vers l’entrée du vagin. Betty se força à gémir, cela rassurait toujours les hommes de croire qu’ils savaient donner du plaisir à une femme.
Enhardi par les petits cris, Conrad fouilla l’intimité de Betty à l’aide de sa grosse main pour palper l’intérieur du vagin. Elle le laissa un peu s’amuser et prit les devants.
Elle coucha Conrad sur le dos et s’attaqua à la braguette du pantalon pour le libérer. Gênée par son string, elle le fit voler dans la pièce et baissa le slip de Conrad. Elle faillit pouffer de rire : la verge de Conrad n’excédait pas la taille de celle d’un garçon de douze ans en érection. Betty déboutonna la chemise du Conrad. Le gros ventre pendait de part et d’autre, il ne devait pas se voir uriner en position debout, pensa-t-elle.
Elle empoigna la verge, décalotta le gland et sa bouche, tel un aigle, fondit sur la verge. Conrad grogna, il soufflait comme un porc que l’on amène à l’abattoir. Sous les coups de langue, il faillit jouir, mais il voulait posséder cette belle créature. Même dans ses rêves les plus fous, il ne s’imaginait pas un jour pouvoir baiser l’une d’elles.
Il se coucha sur Betty, l’écrasant de son gros ventre, et manqua de l’étouffer. La main de Conrad chercha ...