1. Floryda 2113 AD


    Datte: 23/01/2018, Catégories: f, fh, ffh, inconnu, gros(ses), fépilée, Collègues / Travail Masturbation rasage, Oral légumes, fsodo, sf, Auteur: Armitage, Source: Revebebe

    ... string.
    
    La climatisation du centre fit pointer ses seins pointèrent et l’on put voir ses tétons tendre sa robe, bien trop courte pour une femme honnête. Elle s’approcha du sas, et le martèlement de ses talons sur le carrelage fit voler en éclats le silence du sanctuaire du centre.
    
    Le centre de transfert et des opérations bancaires, à part du complexe, ressemblait à un office terrestre avec quelques employées habillées à l’ancienne. Ici, le port des combinaisons n’avait pas cours, on lui préférait des tenues civiles. D’un seul coup, une nuée de regards se leva pour converger vers le bruit, et Betty se sentit déshabillée. Elle s’approcha du bureau d’accueil en souriant.
    
    — J’ai rendez-vous avec Conrad, dit-elle.
    — Je vais le prévenir, asseyez-vous en attendant, répondit l’hôtesse.
    
    Betty déclina : si elle s’asseyait, cela aurait été l’émeute et la sécurité aurait été débordée.
    
    Son petit sac dans le dos, elle s’occupait l’esprit à lire les affiches de marketing pour de nouveaux services proposés par le centre.
    
    Conrad arriva en toussant. Betty bomba le torse, les jambes bien ancrées ; la robe blanche ne marquait aucun pli sur son ventre, on voyait juste son string en transparence. Elle savait l’effet qu’elle faisait dans cette tenue. Elle allait lui en donner pour son argent.
    
    Il ne mesurait pas plus d’un mètre cinquante-cinq, mais Conrad compensait son handicap de taille par une situation où il avait tous les pouvoirs. Il fut tout de suite antipathique à ...
    ... Betty. Il ressemblait à un petit goret tout rose, engraissé au maïs transgénique. Son ventre dépassait pour tomber sur son pantalon, et son visage bouffi, empreint de couperose, faisait encore plus ressortir son crâne rasé. Il tendit une petite main potelée, en signe d’accueil. Betty la saisit d’une main ferme. Il avait les mains moites. Elle dissimula son dégoût : ce n’était pas le moment de jouer les délicates.
    
    Conrad entraîna Betty dans son bureau, à l’abri des regards gourmands des guichetiers en train de fantasmer sur la croupe qui laissait voir de temps en temps le début de la rondeur de ses fesses. Il invita Betty à prendre place sur un fauteuil de cuir à l’assise confortable ; Betty s’enfonça à peine et s’appuya au dossier. Conrad avait de suite plongé le regard sur ses cuisses. Elle fit mine de ne rien remarquer et croisa les jambes, dévoilant quasiment l’intégralité de son string immaculé. Conrad faillit s’étrangler, il dut s’éponger le front.
    
    Les tétons, encore dilatés sous l’effet de la climatisation, auraient bien demandé à être libérés pour respirer. Betty sentait le regard du directeur aller de ses seins à son entrecuisse. Elle décroisa les jambes et, d’un air totalement détaché, écarta légèrement les genoux. Sa robe remontée haut sur ses cuisses ne cachait plus rien du triangle blanc, Conrad distingua même la fente en relief sur le string. Il frotta son entrejambe, il bandait en sournois.
    
    Après les formalités et les garanties d’usage, il proposa à Betty le ...
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