1. Sophie à l'EHPAD (1)


    Datte: 04/06/2021, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: TURBO77, Source: Xstory

    ... de l’établissement. Mon homologue du premier étage, une grosse Martiniquaise avec un air renfrogné : Gabrielle ; au rez-de-chaussée une femme d’une cinquantaine d’années : Martine, le factotum qui était venu me chercher à la gare : Martial, une trentaine d’années, les deux femmes de ménage, bonnes à tout faire (dixit Mademoiselle Mireille) qui s’occupaient également de la cuisine et des repas : Hélène et Brigitte. Il y avait une infirmière qui venait un jour sur deux : elle s’occupait de plusieurs établissements et enfin le médecin référent qui venait une fois par semaine, mais qui n’était pas présent.
    
    Je connaissais tout le monde et c’est Gabrielle qui était chargée de m’épauler lors de cette première journée de boulot.
    
    Elle était très pet-sec et n’épargnait pas mes patients, ils ne bronchaient pas et me jetaient des œillades tristes. Visiblement, Gabrielle n’était que très peu appréciée à cet étage. Lors de la toilette, j’étais très surprise de la façon dont elle procédait. Ce n’était pas du tout ce que j’avais appris lors de mes cours de travaux pratiques. Elle les accompagnait sous la douche et ils devaient se déshabiller seuls et se laver seuls également : pas d’aide de la part de Gabrielle. J’étais un peu gênée de voir les hommes nus, leur sexe offert à mes yeux et leurs bourses se balancer entre leurs cuisses. Plus curieuse que voyeuse, j’étais troublée lorsqu’un d’eux se penchait et que je découvrais son service trois pièces entre ses jambes qui rythmait ses ...
    ... mouvements. L’excitation était bien là quand même et le fait de voir un homme nu avec une femme à mes côtés, ajoutait à mon trouble.
    
    — Ils sont grands, ils se débrouilleront sans toi, ne te laisse pas embobiner. C’était sa façon de penser. Je n’osais protester et me jurais de ne pas faire pareil, d’avoir de la compassion pour eux, de les aider et de les soulager dans leur vieillesse.
    
    Le repas était plus cool : les deux femmes à tout faire aidaient bien les résidents à manger et je les remerciais pour ça. Mal m’en prit, je me fis rembarrer vertement :
    
    — On fait notre boulot, c’est tout ! Décidément il y avait une drôle d’ambiance, mais rien n’arrêtait mon envie de bien faire.
    
    Je m’apprêtais à faire ma ronde du coucher : lavage des dents ou mise en trempage des appareils dentaires, remise et vérification de la prise des médicaments et extinction des lumières.
    
    Mademoiselle Mireille entra dans ma chambre sans même frapper à la cloison de verre. Elle tenait à la main une boîte avec des pilules à l’intérieur.
    
    — Vous avez intérêt à leur donner un cachou si vous voulez dormir tranquille !
    
    Je lus rapidement la notice : il s’agissait de somnifères. Je ne dis rien à Mademoiselle Mireille, mais n’en pensais pas moins. Je me refusais à droguer le pensionnaire pour ‘‘être tranquille ’’.
    
    Elle rentrait chez elle et me fit savoir qu’elle serait là vers 11 heures le lendemain matin, car le dimanche, elle allait à la messe.
    
    J’entrepris la tournée du soir. Je frappais à ...
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