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Sophie à l'EHPAD (1)
Datte: 04/06/2021, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: TURBO77, Source: Xstory
... qui était prête sur le lit. « Vous la changerez chaque semaine contre une propre à la lingerie ». Nous rentrâmes dans ma chambre et sur le lit, il y avait effectivement l’uniforme que je devais mettre. Elle me pressait, car elle avait beaucoup à faire aujourd’hui. Ma chambre était en fait ce que l’on appelait ’’ le bureau des infirmières’ ’ : pas de porte et une paroi entièrement vitrée. Bonjour l’intimité ! Le samedi était un jour important à cause des visites des familles. Devant sa pression et le manque d’endroit pour me changer, je décidai de me déshabiller prestement, mais j’étais toujours gênée, car je ne portais pas de soutien-gorge. Mes tétines étant très facilement irritables, le docteur dès mon plus jeune âge, avait dit à maman que je devais éviter de serrer ma poitrine. Tout au long de ma vie passée, les personnes qui m’avaient vue torse nu étaient étonnées et ne pouvaient s’empêcher d’y aller d’un commentaire. C’est donc en slip que je me retrouvais devant Mademoiselle Mireille qui ne put s’empêcher de faire une remarque sur mes seins tout en écartant mes mains pour mieux les observer. Elle me fit un compliment sur mes mamelons ; je lui expliquai que ça me gênait plutôt qu’autre chose et je lui parlais de la maladie dont je souffrais. Elle me dit que j’avais tort et que les hommes devaient être très sensibles à une poitrine pareille aux tétons en érection permanente. Je passais la blouse bleue et blanche aux couleurs de l’EHPAD, et mis le bonnet ...
... sur mes cheveux blonds coupés courts et la suivis dans le couloir qui menait aux chambres. Elle prit mes affaires avec elle. Uniquement l’uniforme ici ! Je n’étais pas surprise de rencontrer dans chaque chambre des hommes qui avaient entre 70 et 80 ans ou plus. Le bâtiment était correctement tenu, très propre, chaque chambre était composée d’un espace pour dormir avec un lit et un confortable fauteuil et une salle d’eau équipée d’une douche, de toilettes et d’un lavabo. Il n’y avait pas de porte de séparation, pour intervenir plus rapidement. Une grande fenêtre donnait sur la campagne et sur le bois de sapin alentour. Je ne retenais pas les noms de mes cinq pensionnaires ; Mademoiselle Mireille allait trop vite pour moi. Elle était mielleuse avec les hommes, directive et autoritaire avec moi. Je me sentais comme offerte aux pensionnaires, comme s’ils pouvaient tout obtenir de moi. Je savais que dans ce métier que j’avais choisi, il fallait être à la disposition des patients, mais je n’avais pas intégré le fait qu’ils puissent m’appeler à toute heure du jour comme de la nuit ! Elle leur disait ouvertement qu’ils pouvaient tout obtenir de moi. Le fait de ne pas avoir de soutien-gorge n’était probablement pas une bonne idée, car le tissu de la blouse était bien mince et mes tétines avaient une fâcheuse tendance à la provocation. Ça n’échappait pas aux hommes et leurs yeux allaient plutôt vers mon torse que vers ma tête. J’eus droit à la présentation du personnel ...